Si nous avons omis en aperçu l’existence de Farming Simulator 16, c’est volontaire ! Effectivement, que ce soit Farming Simulator 14 ou 16, les deux opus étaient des jeux destinés au public mobile et PS Vita à l’exception du 14 qui se la jouait 3DS. En somme, le comparatif du jour se fera donc entre Farming Simulator 15 que nous avions testé et le nouveau venu disponible dans toutes vos boutiques préférées sur PlayStation 4, Xbox One et PC, le fameux Farming Simulator 17.
Vous l’aviez peut-être déjà lu mais nous vous avions présenté un dossier ici-même il y a quelques mois qui expliquaient un peu les attentes que nous avions concernant cet épisode 17. Si ce dossier est également valable pour les futurs épisodes, on reste tout de même assez déçu de constater que très peu d’idées ont été utilisées. On s’en rapproche beaucoup, certes, comme vous allez le découvrir au fil de ce test mais malheureusement, on est encore loin de la révolution agricole rêvée.
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ToggleLa révolution des mods
Pour débuter notre test de Farming Simulator avec le sourire, voici l’une des plus grosses innovations que le soft propose aux joueurs consoles. Vous l’avez compris, on parle bien évidemment des mods. Pour tout vous dire, la licence Farming Simulator s’est toujours offerte un second souffle, de nouvelles possibilités, des cartes ou encore divers véhicules grâce à l’existence d’une très puissante communauté qui n’est pas du tout avare en création de contenu.
Si jusqu’à maintenant les mods étaient réservés aux PCistes, Farming Simulator 17 inaugure la présence des mods sur PlayStation 4 et Xbox One. Bonne nouvelle donc bien que comme vous vous en doutez, Giants Software surveillera les différents contenus qui débarqueront afin qu’il n’y ait pas de problème majeur. Néanmoins, on remarque rapidement le petit message qui dit explicitement que si un mod endommage votre jeu, ce sera votre responsabilité. A noter également qu’il avait été précisé que les joueurs PC auront toujours plus de mods que les joueurs consoles puisque forcément, sur vos machines de salon, ces derniers seront beaucoup plus contrôlés et ils seront ajoutés directement par Giants Software. Hors, sur PC, il suffit de télécharger le fichier mods et de l’incorporer directement dans le dossier ce qui n’est actuellement possible sur consoles.
Bref, cela étant dit, vous pouvez d’ores et déjà retrouver quelques mods créés par la communauté à l’image d’un pack FENDT actuellement disponible. L’ensemble est bien évidemment gratuit et ce sera à vous de voir si vous voulez ajouter le matériel en question dans votre jeu et donc, chez votre concessionnaire pour l’acquérir ensuite. En plus des véhicules agricoles et autres machines ou fantaisies comme des voitures, vous trouverez bien évidemment des mods de cartes et autres objets ou bâtiments à placer.
Chaque année, c’est la même chose mais il est important à nos yeux de rappeler que la communauté Farming Simulator est omniprésente et que les fans et moddeurs en tout genre ne se comptent même plus. Une bonne chose donc qui fait le bonheur de Giants Software puisque cela comble aisément tous les différents problèmes du jeu chaque année. De ce fait, le test sera comme d’habitude, basé sur le jeu orignal.
Pour en finir avec le contenu additionnel gratuit, vous remarquerez également un encart DLC encore vide pour le moment. Cela signifie donc que comme à son habitude, du contenu payant sera de la partie. Espérons que les mods gratuits l’emporteront toujours !
Toujours par deux !
Cette année, deux cartes se présentent à nous. Comme toujours, la première se situe aux Etats-Unis, elle se nomme Goldcrest Valley et c’est sur cette dernière que l’on va se concentrer dans un premier temps puisqu’elle offre des possibilités absentes sur la seconde carte.
Grande, jolie et plutôt bien pensée, ce que l’on remarque tout de suite, ce sont les graphismes qui, même s’ils ne sont pas encore au niveau attendu, sont tout de même de bien meilleurs qualités ! On remarquera ainsi plus de détails, plus de maisons, des routes plus réalistes, des reflets de l’eau dans les rivières et tous les petits éléments que vous pouvez voir. Certes, ce sont majoritairement des détails mais quand on les additionne tous, on voit forcément le résultat. En plus de cela, il faut reconnaître que l’architecture de cette ville est franchement très agréable à l’œil et une fois de plus, on a droit à des décors et des effets de lumière avec la météo et le soleil qui sont de meilleure facture.
Donc oui, graphiquement, on ressent qu’il y a du boulot et du souci du détail. Bien évidemment, on n’échappe pas à certains petits bugs ou d’autres éléments du genre mais une chose est sûre, ils nous ont paru bien moins présents que sur la précédente édition. Effectivement, si les collisions avec les autres véhicules, les poteaux et les autres éléments du décor ne sont toujours pas du tout réalistes, on remarquera qu’il y a du mieux puisqu’il n’y a plus d’accidents loufoques ou bizarroïdes à moins de… vraiment le chercher.
Cela étant dit, Goldcrest Valley est aussi de la partie pour faire intervenir une très grosse nouveauté : les trains ! Effectivement et nous allons vous donner immédiatement notre avis sur la question, pour nous, ce n’était pas forcément une véritable attente ni même une nécessité… Il y a un aspect confort et Train Simulator mais nous avons franchement trouvé que l’on s’éloignait grandement du concept de créer son exploitation agricole.
Cela étant dit, la maniabilité des trains est extrêmement simpliste et ne posera de problème à personne. L’intérêt de la manœuvre réside principalement dans la possibilité de livrer des marchandises en très grande quantité pour ainsi, faire beaucoup de bénéfice bien plus rapidement. Il y a donc deux lignes qui se rejoignent et pour vous donner un exemple simple, si vous vous mettez à la scierie, vous pourrez transporter une énorme quantité de bois sur votre première ligne avant de transférer l’ensemble sur la seconde pour que tout votre bois soit amené directement à votre scierie et vendu.
Les trains et leurs wagons sont donc, forcément, utiles puisque de nombreux lieux pour stocker des marchandises sont disposés sur leur passage et cela vous évitera probablement certains aller-retours en tracteur au risque de perdre votre marchandise sur la route mais pour nous, cela dénature tout de même un peu l’esprit et il y avait clairement d’autres points sur lesquels se concentrer. En plus de cela, avec les containers et les camions, l’ancien soft proposait déjà des solutions faciles et rapides pour déplacer de la marchandise…
Au-delà de ça, Farming Simulator 17 propose avec sa carte Goldcrest Valley le même système que l’épisode 15 qui vous invite pour vous amuser… à trouver les cents objets dispersés et cachés dans les endroits les plus retords possibles. Si dans le 15, il fallait trouver des pièces, cet épisode propose quant à lui des pépites d’or ! Décidément, les développeurs ne manquent pas d’humour avec cette quête annexe.
Autre petite nouveauté qui marchera sur toutes les cartes, c’est la possibilité de se servir de ses mains. Effectivement, attacher des bottes de foin ou déplacer certains objets est désormais possible. Cela étant dit et si l’on en parle maintenant, c’est parce que la carte Goldcrest Valley propose un terrain de basket où il est justement possible de tenir un ballon pour tenter de mettre des paniers… Activité très franchement peu ludique, elle permet tout de même de récupérer des trophées…
Farming Simulator 17 dit oui aux mods PC, Xbox One et… PlayStation 4 ! Si si…
Pour ce qui est de la seconde map, elle se trouve en Europe et elle porte le nom de Sosnovka. De ce fait, vous l’avez deviné et vous la connaissez très certainement si vous avez joué à la Gold Edition de Farming Simulator 15. En gros, la carte se retrouve recyclée pour cet opus bien que ce ne soit pas un mal puisqu’elle reste elle-aussi plutôt bien architecturée. Néanmoins et comme on le disait, pas de quête à la pépite d’or ici ou de trains à conduire, on reste dans du classique.
Pour faire un bilan général sur les deux cartes, c’est techniquement mieux que l’ancien opus, c’est indéniable mais l’on reste sur notre faim quant à la véritable évolution. Effectivement nous allons prendre un exemple simple… Vous n’êtes pas sans savoir qu’à la campagne, on trouve souvent des chemins étroits avec des graviers sur les côtés et une touffe d’herbe qui vous montre où il faut rouler… Et bien ici, si les routes ont eu droit à un traitement de faveur, ce n’est pas encore le cas des chemins de terre qui restent bien trop larges et peu réalistes.
De plus, on notera encore une fois que nous sommes un véritable fantôme dans ce monde ! On passe toujours au travers des habitants ainsi que des panneaux de signalisation, les rues sont désertes et personne ne nous parle et c’est à croire qu’il est impossible de se faire accepter par les habitants qui peuplent le monde de Farming Simulator ! Et on peut aussi rajouter le fait que les automobilistes continueront de se faire doubler par nos vaillants tracteurs et à rouler à moins de 30 kilomètres heures sur des routes où il y a une vision dégagée… Croyez-nous, à la campagne, les conducteurs ne roulent pas à 30 km/heure ! Bon, peut-être avons-nous des ambitions trop élevées dans le dossier que nous avions rédigé à cette adresse et qui se consacre à la licence FS ? Pourtant, Farming Simulator tente de suivre quelques-unes de nos idées comme par exemple, le choix du sexe du personnage.
Effectivement, on peut désormais choisir le sexe de notre personnage entre un fermier et une fermière. Malheureusement, au-delà du nom et de huit coloris qui se courent après, on reste sur notre faim ! D’autant plus que malgré l’implantation de fermiers rivaux dans la ville qui sont censés travailler sur les terres qu’ils travaillent, vous ne les verrez absolument jamais. C’est dommage car une fois de plus, le soft manque abominablement de vie et même si nous sommes en face d’une simulation pure et dure, on ne pense pas que ce soit trop demandé de voir des rivaux moissonner leur champ à côté du votre… Effectivement, les fermiers de la vie réelle ne sont clairement pas seuls au monde hein, rassurez-moi…
Alors oui, on peste après ce genre de feature que l’on attend avec impatience contrairement aux trains qui ne sont pas la nouveauté du siècle à nos yeux. Dans tous les cas et heureusement, la communauté apportera une nouvelle fois bon nombre de mods et de cartes venant gommer la majorité des défauts évoqués bien que l’absence de vie, elle, on ne pourra pas y faire grand-chose.
Bref, cela étant dit, le tableau est loin d’être noir et cette édition de Farming Simulator 17 réserve tout de même encore quelques atouts de taille et nous allons sans plus tarder vous les évoquer.
Il est beau mon garage !
Et bien oui, si Farming Simulator a fait des progrès en termes de graphisme, c’est aussi l’occasion de présenter un garage encore plus vaste. Effectivement, c’est désormais plus de 250 machines agricoles que l’on retrouve et qui ont été modélisées avec brio. Ce chiffre se divise en 75 constructeurs différents ce qui est plutôt sympathique. De plus, on appréciera les intérieurs des cockpits plutôt fidèles et franchement classes. Ainsi, cet épisode inaugure l’arrivée de grandes marques telles que Massey Ferguson, Valtra, Challenger ou encore, FENDT. Il y a encore et toujours des absents tant il existe de marques différentes… De notre côté, on regrettera toujours les absences du vert de CLAAS et du orange de Renault (rires).
En plus de cela, on se retrouve avec les célèbres possibilités de construction d’éoliennes, d’un karcher ou encore de nouveaux silos mais ce n’est pas tout… Effectivement, on peut désormais construire des cabanes ressemblant à des chalets, placer une chaufferie pour vendre votre bois ou encore, construire un atelier pour vos véhicules et éviter de donner votre argent à un mécanicien ! Mais l’Atelier réserve une surprise de taille… Vous l’avez deviné, vous pouvez désormais customiser vos véhicules à l’image de la couleur des jantes des tracteurs et moissonneuses ou encore, de la taille des pneus pour en obtenir des plus larges. Un détail sympathique donc !
Encore un nouveau détail de l’ordre esthétique, la salissure sur les routes. En effet, lorsque vous roulez sur des chemins boueux, non seulement les véhicules auront toujours droit à un charmant degré de salissure mais en plus de cela, vous laisserez vos traces sur les routes après votre passage. C’est un détail amusant qui gagne en réalisme et qui est plutôt agréable. Vous noterez également le bruitage sympathique qui sera synonyme des moments où vous roulerez innocemment dans la boue avant de recouvrir les routes de terre des pauvres habitants de la ville… Bah, au pire des cas, ce n’est pas très grave, tout le monde vous croit mort (rires).
Farming Simulator 17 accueille des marques telles que Massey Ferguson, Vatra ou encore, Challenger !
Ce qu’il faut savoir également, c’est que si Farming Simulator se veut plus joli, ce n’est pas seulement parce que c’est un nouvel opus ! Effectivement, Farming Simulator 17 marque l’arrêt des versions Xbox 360 et PlayStation 3 de la licence ce qui permet aux équipes de développement de se concentrer sur les consoles du moment. Bonne initiative pour nos yeux bien que l’on soit désolé pour tous ceux qui sont contraints de rester encore sur ancienne génération.
Le titre de Giants étoffe également ses possibilités en matière de culture. Vous serez donc ravis d’apprendre que les céréales accueillent désormais le tournesol et le soja. Une bonne chose depuis le temps que l’on attendait l’implémentation de ces domaines tout comme l’on attendait la fin des quêtes annexes où il fallait par exemple amener une palette d’un point A vers un point B. Et bien oui, désormais, les missions du jeu pour gagner, se veulent intelligentes, ludiques et vous permettent de tester des outils agricoles que vous ne possédez pas.
En effet, comme vous le savez, il est possible d’acheter des gens sur chacune des cartes du jeu. Désormais, les terres appartiennent à d’autres agriculteurs et même si l’on peut penser fortement qu’ils ne travaillent pas car on ne les verra jamais au cours de notre aventure, ils sont bien là et vous feront travailler leurs terres en échange d’un peu d’argent voire même, de coquettes sommes. De plus, ces derniers vous prêteront gentiment tout le matériel nécessaire pour réussir votre quête. Seul bémol, une limite de temps pour travailler les terres du paysan. Une excellente idée bien que l’on aurait aimé que l’équipe aille jusqu’au bout de l’idée en intégrant complètement les fermiers et fermières en question dans le monde de Farming Simulator… A noter également que si vous avez les moyens financiers, vous pouvez directement acheter le champ de l’individu plutôt que de travailler pour lui.
Autre moyen de tester les nombreux véhicules du jeu : la location. Grande première pour l’univers de Farming Simulator, cet opus 17 permet enfin de louer du matériel. Cela coûte, forcément, moins cher qu’un achat pur et ainsi, vous pouvez vous essayer un peu à toutes les pratiques plutôt que… farmer l’aspect céréalier pour faire un max d’argent et enfin passer à une autre activité. C’est une excellente idée qui est vraiment la bienvenue et qui évite de se retrouver coincer si la banque nous refuse un crédit.
Enfin, avec les céréales, pommes de terre, radis oléagineux, scierie et élevage d’animaux avec la vache et le mouton, Farming Simulator 17 rajoute le cochon ! Et bien oui, vous allez maintenant devoir engraisser les fameuses bêtes, les loger et enfin les vendre. Une activité de plus, ce qui est toujours bon à prendre.
Musique Maestro !
Les fans de la licence l’attendaient avec beaucoup d’impatience et ils l’ont fait ! Fini les travaux agricoles dans les champs avec seulement le bruit de votre moteur qui parvient à vos oreilles. Effectivement, Farming Simulator 17 intègre ses propres radios avec une bande-son qui s’avère franchement sympathique. Au programme, quatre stations proposant chacune de la Pop, du Rock, de l’Electro ou de la Country avec. A noter qu’il y a une quinzaine de morceaux différents pour chaque style. Enfin, le jeu est également capable de dénicher les musiques à partir de la véritable radio mais attention, cette feature-là n’est disponible que sur PC.
Pour plus de fun, le multijoueur sera de nouveau de la partie et il permettra à 16 joueurs de se retrouver en même temps pour gérer une ferme. A noter que si vous pouvez chercher une partie par vous-même, il est également possible d’en créer une à partir de votre partie en solitaire. Enfin, pour plus de stabilité, il est possible, moyennant de l’argent, de louer votre propre serveur. En tout cas, la recette multijoueur fonctionne toujours aussi et avec 16 amis, il est clair qu’il y a facilement moyen de ne plus compter ses heures.
Comme vous vous en doutez, l’expérience Farming Simulator n’est pas forcément quelque chose d’aisée d’autant plus que l’agriculture n’est pas forcément le milieu le plus facile à appréhender. Pourtant, il séduit et cela est prouvé par le nombre de joueurs sur la licence FS. De ce fait, Giants Software propose tout un tas d’options venant apporter du réalisme et de la difficulté mais retirer ou activer certaines possibilités permet aussi de rendre le jeu bien plus accessible. En plus de cela, vous pourrez découvrir un tutoriel qui vous apprendre les bases à savoir.
Farming Simulator 17, louer vos véhicules et empruntez ceux des autres fermiers pour des missions !
De plus et avant de commencer une nouvelle partie, vous devrez choisir une difficulté parmi trois différentes. Ces dernières rendront la gestion de votre propriété plus ou moins difficile. Effectivement, nous n’avons pas vraiment parlé de l’aspect technique mais Farming Simulator est une véritable simulation financière. Vous aurez de nombreux de tableaux vous rapportant les frais d’entretien de véhicule, celui des recettes selon les différents secteurs agricoles, vos résultats en ce qui concernent l’élevage, le menu du concessionnaire avec les possibilités, d’achat/location, le banquier et les emprunts qui vont avec et enfin, une multitude de chiffre vous montrant les différents lieux où vendre et acheter la marchandise. Ainsi, il faudra surveiller ce taux de très près et par exemple, si vous moissonnez du blé, vous devrez faire en sorte de choisir la coopérative la plus offrante !
Pour cela, rassurez-vous, Farming Simulator a complètement revu son interface et elle est tout simplement très facile à comprendre et plutôt intuitive. De plus, si vous avez toujours la possibilité de vous téléporter de véhicule en véhicule, vous pouvez désormais vous téléporter directement chez le boulanger, à la coopérative ou dans d’autres lieux où vous devez faire affaire à l’aide du menu. Simple et efficace donc. Enfin, la mini-carte qui est aussi présente dans le menu de manière détaillée a clairement gagné en clarté et c’est vraiment appréciable de pouvoir, en un clin d’œil, savoir où l’on se trouve, quelles cultures ne vont pas tarder à faner ou, au contraire être prêtes pour la récolte. Autre gros plus, la possibilité de placer des marqueurs sur les lieux où l’on veut se rendre et on peut vous le dire, c’est tellement pratique qu’on l’utilise tout le temps !
Côté durée de vie, si vous n’avez jamais lâché Farming Simulator 15, il y a de fortes chances que le même sort vous soit réservé avec cette nouvelle itération. De plus, elle est pour nous plus accessible et plus claire que la précédente ce qui favorise l’arrivée de nouveaux joueurs. Enfin et pour finir, on notera des bruits de moteurs toujours aussi réalistes bien que, désormais, on met souvent la radio pour les masquer un peu !
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