Aperçu : Mutant Year Zero : Seed of Evil – Dans la continuité du jeu de base
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Rédigé par Mathieu Corso
Annoncé il y a quelques mois de manière parfaitement attendue, l’extension Mutant Year Zero : Seed of Evil sortira officiellement le 30 juillet prochain sur PC, PS4, Xbox One et Switch. Sur les deux premières cartes du soft auxquelles nous nous sommes essayés, c’est toujours aussi charmeur, et dans une certaine continuité vis-à-vis du jeu de base.
Une nouvelle menace plane sur l’arche
Un peu comme le jeu de base, la première carte du jeu sert grossièrement d’introduction à cette extension. Bien évidemment, nous n’allons rien spoiler du tout, mais sachez d’ores et déjà que cette dernière est une suite totalement directe aux événements découverts à la toute fin du jeu original, The Bearded Ladies. Nous retrouvons de ce fait dans cette preview nos bons vieux traqueurs qui devront faire face à une nouvelle menace qui plane sur l’arche. Sans vous en dire plus, la narration peut s’avérer intéressante sur la longueur, mais plutôt prévisible sur certains points. Du coup, nous verrons bien de quoi il en retourne sur le jeu final, et ce petit défaut était déjà assez présent sur le jeu de base concernant son écriture.
Mais bref, pour ce qui est des deux premières zone de l’extension, force est de constater que The Bearded Ladies ne nous offre pas réellement de variétés significatives. Si la direction artistique fait encore inévitablement mouche, on doit bien admettre que les décors ressemblent étrangement un peu trop à ce que nous avons pu voir sur le jeu de base jadis. Néanmoins, on compte sur le studio pour nous en mettre plein la vue sur les prochaines zones du jeu, qui on l’espère arriveront à nous faire lâcher un soupir d’émerveillement. Bien entendu pour ce qui est du gameplay pur, il ne change pas tant que ça par rapport au jeu de base, et il reste toujours plaisant à jouer, indéniablement. Vous pouvez toujours jeter un petit œil sur notre test du jeu de base pour en savoir plus.
Côté progression, sachez au passage que vous pourrez jouer à l’extension de deux manières : avec et sans sauvegarde. Si vous aviez déjà une sauvegarde sous le coude c’est parfait. En effet, vous retrouverez tout votre équipement durement acquis, et vous pourrez à ce moment-là rejoindre directement la première zone nouvellement apparue sur votre map pour pouvoir commencer Mutant Year Zero : Seed of Evil – le niveau commence d’ailleurs à 65 donc veillez à avoir des personnages suffisamment puissants pour débuter. En revanche pour les personnes dénuées de sauvegarde, vous aurez par contre vos protagonistes prédéfinis. En somme il y en aura pour tous les goûts, afin de contenter tout le monde, et permettre à un plus grand nombre de joueur de jouer à l’extension, même s’il est recommandé d’avoir quand même fini le jeu de base auparavant pour comprendre l’histoire.
Pour le reste, les seules véritables nouveautés que l’on retrouve du moins sur les deux premières zones quand même étriquées du soft, ce sera le nouveau traqueur. Le bougre se nomme Big Khan, et sera doté d’un fusil d’assaut, et d’un fusil à pompe. Côté mutations, notre anthropomorphique aura pratiquement les mêmes que ses confrères, à l’exception de quelques mutations sympathiques que nous ne dévoilerons pas. Cela permettra évidemment au moins d’expérimenter quelques nouvelles stratégies avec ce nouveau traqueur, qui s’avère plutôt plaisant et utile à jouer.
Hormis ce nouveau traqueur plutôt cool en matière de spécificités, de nouveaux ennemis seront de la partie. Il s’agira plus ou moins de goules évoluées, et on espère sincèrement que le bestiaire sera peu plus touffu sur la longueur. Au passage, sachez que vous retrouverez bien évidemment le loot habituel dans divers coffres à certains endroits, et les fameuses ferrailles, artefacts ou pièces d’armes pour ugrader compétences, armes et j’en passe. En clair, c’est basé sur des fondations assez solides, et prions pour que le jeu soit surprenant en définitive. Car pour le moment, c’est dans la continuité de son prédécesseur, la surprise en moins, et dont on s’interroge sur sa durée de vie au demeurant.
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Date de sortie : 30/07/2019