Pourquoi on aimerait un retour de Prey (2017) ?

Vous aviez l’impression que je gardais une certaine rancœur à l’intention de Bethesda Softworks dans ma précédente chronique sur le Prey de 2006 ? Eh bien vous avez visé juste. Et ça tombe bien, car je ne comptais pas laisser ce sujet décanter trop longtemps. Aujourd’hui nous allons parler du reboot de Prey, paru en 2017, un jeu blindé à ras-bord de qualités mais qui, en raison de son statut d’Immersive Sim, un genre décidément maudit, n’aura pas su trouver son public. En résulte un constat clair comme de l’eau de roche : après la mort de la licence originale, le reboot aura lui aussi sombré définitivement. À croire que tout ce que produit Arkane Studios subit le même sort.

Prey