La grande majorité des studios de Private Division aurait été licenciée chez Take-Two

Et dire qu’il y a seulement quelques mois, Strauss Zelnick se pavanait devant le public et les investisseurs en déclarant que Take-Two ne céderait pas à la triste mode des licenciements. L’hypocrisie du millionnaire apparaît ici un peu plus au grand jour maintenant que l’on sait que son entreprise se sépare de 5% de ses employés, et que les premières victimes sont des studios reconnus pour leur travail, à l’image de Roll7 (OlliOlli) et Intercept Games (Kerbal Space Program 2). Mais ces studios ne seraient que l’arbre qui cache la forêt, puisque c’est bien l’ensemble de Private Division qui est au cœur de la tourmente.