Qui de nos jours ne connaît pas encore la série Assassin’s Creed ? S’il existe encore bien des joueurs n’ayant jamais frôlé du doigt une manette pour jouer à cette licence, bon nombre de personnes s’amusent à suivre les histoires que nous raconte Ubisoft depuis maintenant onze années. Et cette année est marquée par la sortie d’un nouvel opus dans cette saga si souvent bien accueillie par la presse : Assassin’s Creed Odyssey. Annoncée comme une véritable expérience en monde ouvert, avec une profondeur d’écriture impressionnante, cette production a donc tout intérêt à tenir ses promesses.
Après tout, Assassin’s Creed Origins posait des bases assez fortes pour la suite, mais laissait également apparaître moult pistes d’améliorations pour les développeurs. Et, si l’aventure égyptienne valait vraiment la peine, il était également question d’éviter de retomber dans les travers d’un Assassin’s Creed Syndicate plutôt médiocre, quoi qu’ayant lui aussi de bonnes idées.
Dès lors, le studio et ses équipes avaient donc fort à faire pour proposer un nouvel épisode capable de succéder dignement à l’histoire d’un Bayek si appréciée. Et quand bien même le développement de cette nouvelle itération avait commencé en même temps que le titre précédent, une nouvelle déception n’était pas permise. Reste donc à espérer qu’Assassin’s Creed Odyssey tienne plus d’Origins que de Syndicate. Et c’est d’ailleurs, en partie, ce à quoi nous allons tenter de répondre dans ce test du dernier bébé d’Ubisoft.
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ToggleKassandra ou Alexios, il faut choisir !
S’il fallait mettre le doigt sur un élément que nous pouvons retenir de ce nouveau venu dans la série, c’est l’apparition d’un véritable choix cornélien, d’entrée de jeu. En effet, et comme l’avaient déjà fait remarquer les employés travaillant sur le projet, il va être question de choisir qui sera le personnage que vous incarnerez. Vous avez le choix entre Alexios et Kassandra. Bien que l’histoire ne sera pas influencée par cette première décision du joueur, il y a là une première personnalisation de l’expérience qui reste originale pour la série. Pas question d’incarner les deux à tour de rôle comme nous pouvions le faire au sein de Londres, mais bien d’en élire un, pour laisser l’autre de côté.
Bien entendu, il n’est pas question de stopper cette originalité si rafraîchissante pour la saga. Les choix seront pléthores durant l’aventure, notamment durant les différentes phases de dialogues, qui se présenteront par légion durant les nombreuses cut-scenes proposées. Si les précédents opus ne vous laissaient pas voix au chapitre, vous aurez, dans Assassin’s Creed Odyssey, une véritable emprise sur l’évolution de ces discussions. En effet, un système de choix est intégré au jeu, et vous pourrez sélectionner vos réponses (ayant une influence sur le développement de l’intrigue) durant les quêtes secondaires, les récompenses et autres.
Vous avez le choix entre Alexios et Kassandra. […] Pas question d’incarner les deux à tour de rôle comme nous pouvions le faire au sein de Londres, mais bien d’en élire un, pour laisser l’autre de côté.
Mais pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, ce système de choix ne reste pas cantonné aux seuls échanges verbaux, puisque vous aurez aussi le choix de tuer ou assommer un adversaire, afin de le recruter dans votre équipage, de tenter de séduire l’une ou l’autre des personnes rencontrées dans une quête annexe, voire même d’influer directement sur le déroulement d’une quête, en posant par exemple la bonne question au bon moment. Mais si ces répercutions peuvent encore sembler un peu banales, gardez à l’esprit que les conséquences pourront être très bénéfiques, voire chaotiques selon votre décision. Une même situation, avec un choix différent pourrait d’un côté donner lieu à de nouvelles opportunités (quêtes, recrutement de PNJ, etc.) et d’un autre, donner naissance à une vraie rivalité, qui pourrait vous donner du fil à retordre.
Tous ces éléments réunis, font souffler un vent de fraîcheur agréable sur la licence, et permettent à chacun de forger une aventure différente des autres, même si cela n’est parfois qu’en surface, malheureusement. Et cette histoire personnelle est d’autant plus importante que le jeu propose plusieurs fins, ce qui pousse le joueur à réfléchir plus amplement à chacun de ses actes, à chacune de ses prises de décision. Un bémol est néanmoins à mettre en avant, car les réponses sont bien trop courtes pour nous donner une véritable idée de ce qui va en découler, de ce qui va sortir de la bouche de notre personnage. Il est donc tout à fait possible de passer à côté d’une folle nuit d’amour alors que l’affaire était presque dans la poche, tout ça à cause d’une réponse en cinq mots qui vous semblait anodine, alors que les phrases qui suivent ruinent totalement votre coup d’un soir. Dommage, mais cet ajout est déjà si important que l’on ne peut que l’encenser, pour l’instant.
Difficile de savoir où donner de la tête
Voilà donc une histoire tout à fait originale qui va se construire autour de vos choix, et du travail acharné des scénaristes de cette aventure. Et il vous faudra faire preuve de réflexion, mais aussi d’audace afin de pouvoir évoluer dans un univers plus riche que jamais, mais aussi plus violent que jamais. En effet, la trame de cette nouvelle entrée prend place au Ve siècle avant vous savez qui, et nous narre, à sa manière, une guerre fratricide au sein de la Grèce antique. Connue sous le nom de la guerre du Péloponnèse, ce conflit oppose deux anciennes nations fraternelles : Sparte et Athènes. Mais ne vous attendez pas à l’éviter, à la regarder de loin, ni même à l’oublier, car vous serez un acteur majeur de cette dernière, et prendrez part à de nombreux échanges de coups tout au long de votre avancée.
Et comme les petits gars de chez Ubisoft savent si bien le faire, nous ne nous arrêterons pas qu’à cette simple guéguerre, ni même à une histoire linéaire n’introduisant rien. Bien sûr, vous aurez l’histoire de votre personnage, mais vous pourrez aussi croiser quelques figures bien connues de l’époque, comme Socrate, ou quelques visages quant à eux tout droit sortis de l’imaginaire de l’équipe québécoise. Néanmoins, tous ces personnages ont reçu une attention particulière, de sorte à donner une véritable dimension vivante et réaliste à cette production, offrant un sentiment d’immersion tout simplement grandiose à celui, ou celle, qui prendra part à l’aventure.
Comme nous le disions ci-haut, l’histoire prendra donc place au cœur d’une période de conflit, où votre personnage sera régulièrement sollicité afin de prendre part aux affrontements. Si vous restez libre de choisir qui rejoindre pour les affrontements de plus grande envergure, les deux camps auront de jolies récompenses à vous offrir, dès l’instant où vous acceptez de répondre à leurs demandes. Ainsi, vous pourrez, via vos différentes quêtes menées à bien, participer à l’affaiblissement ou le renforcement du pouvoir en place. Cette mécanique est présente à travers l’ensemble du jeu, et permettra ainsi au joueur d’influencer l’évolution des combats.
Vous pourrez aussi croiser quelques figures bien connues de l’époque, comme Socrate, ou quelques visages […] tout droit sortis de l’imaginaire de l’équipe québécoise. […] Tous ces personnages ont reçu une attention particulière, de sorte à donner une véritable dimension vivante et réaliste à cette production.
Mais afin d’avoir accès à ces combats de plus grande envergure, il faudra diminuer suffisamment la jauge de puissance du pouvoir en place. Pour cela, vous avez tout un arsenal de possibilités, comme simplement tuer les soldats que vous croiserez sur votre route, ou en tuant les commandants et lieutenants dans les différents forts de la région. D’autres éléments plus originaux, comme la destruction des stocks ou l’assassinat direct du dirigeant de la région sont également présents.
Une fois la jauge suffisamment basse, la bataille se débloque. Nommée « Bataille de conquête », cette activité vous demandera de choisir quel camp vous voulez rejoindre. Ainsi, en temps que mercenaire de Sparte, ou d’Athènes, vous pourrez guerroyer sur le champ de bataille, afin de mener votre camp à la victoire et obtenir de précieuses récompenses, comme de l’expérience ou des équipements de niveau rare, épique, voire même légendaire. Véritable défouloir ou passe-temps entre deux quêtes, cette activité, bien que répétitive, propose un peu plus de contenu et une certaine forme de challenge. (Je vous défie de lancer une bataille de conquête en étant agresseur, sans avoir baissé au minimum la jauge de pouvoir en difficulté de jeu difficile. Vous allez voir, c’est du costaud.)
Malgré tout, gardez à l’esprit que ces batailles sont secondaires, et n’influencent en rien le déroulement de l’histoire, ni même son dénouement. De la même manière, votre impact sur le conflit en cours est nul, et si vous pourrez aider à son développement, vous n’aurez aucune incidence sur sa conclusion. Voyez donc cela plus comme une invitation à trancher du grec, tout en amassant les récompenses, que comme un scénario annexe. Et puis, vous aurez déjà bien assez d’éléments historiques et autres activités annexes à vous mettre sous la dent, l’absence d’un scénario annexe lié à ces batailles ne vous manquera donc pas.
Assassin’s Creed Odyssey, toutes les qualités de la licence en un seul titre
Mais je vous vois déjà venir. Oui, la carte de ce nouvel Assassin’s Creed est bel et bien constituée, au moins à moitié, de ce délicieux liquide que l’on nomme « eau ». Mais la comparaison avec Assassin’s Creed Black Flag s’arrête là, ou presque. Nul besoin de chercher à vouloir éternellement comparer les nouveaux titres aux anciens, puisque ces derniers héritent simplement de ce qui a déjà été fait auparavant. Ainsi, stoppons tout de suite les Black Flag 2.0 ou les Origins 2, voire encore les Origins DLC Greek pack ou que sais-je encore.
En effet, le caractère naval de ce titre n’est que secondaire, et est présent en majorité parce que la Grèce… bah c’est aussi composé d’eau et d’îles. Les batailles sont bien moins nombreuses que dans l’aventure de la piraterie, et surtout bien plus facilement évitables. Par ailleurs, les déplacements par la mer ne sont que rarement obligatoires, si vous préférez prendre beaucoup plus de temps pour emprunter les voies terrestres, c’est votre problème. Et si vous aimez les chants de vos marins, mais pas le son des coques qui s’entrechoquent, alors n’ayez crainte et évitez simplement le conflit. Votre bateau sera, généralement, plus rapide que celui de vos adversaires, alors profitez-en.
Libre à vous de pousser la comparaison avec Assassin’s Creed Origins. Ce nouvel opus repose sur des bases de gameplay déjà fortes, amenées par l’aventure au milieu des pyramides. Le contenu reste assez proche dans sa forme, et ne varie que sur le fond, le tout est, malgré tout, bien mieux ficelé que dans le précédent, surtout au niveau de la fluidité de l’ensemble.
Et quand bien même vous devriez prendre le large, car à la nage c’est beaucoup plus long, les navires sont bien plus maniables que dans l’expérience avec Edward. De plus, les récompenses sont bien plus intéressantes que celles proposées dans Black Flag, puisque vous pourrez récupérer de l’équipement pour améliorer votre personnage, ou votre navire. C’est aussi l’occasion de dire que parmi vos choix, certains influeront sur votre équipage, puisque épargner et recruter un seigneur spartiate pourra vous allouer quelques bonus durant les batailles. En effet, chaque recrue apportera son lot de compétences pour diversifier votre manière de gérer les phases maritimes. Donc vous voyez, c’est bien différent de Black Flag, déjà car c’est secondaire, et surtout car la formule a été diablement bien améliorée ! Donc à vous la liberté de tout esquiver, même si nous, on adore le chant de nos camarades alors que l’on sillonne les eaux grecques, accompagnés par les baleines et dauphins qui viennent nous saluer à la surface.
Par contre, libre à vous de pousser la comparaison avec Assassin’s Creed Origins. Après tout, ce nouvel opus repose sur des bases de gameplay déjà fortes, amenées par l’aventure au milieu des pyramides. Si le contenu reste assez proche dans sa forme, et ne varie que sur le fond, le tout est, malgré tout, bien mieux ficelé que dans le précédent, surtout au niveau de la fluidité de l’ensemble. Et donc, si la recette 2017 vous avait fait passer d’agréables heures de jeu, il en sera de même pour la version 2018. Attention toutefois car on ne parlera plus de dromadaire, mais bien de chevaux macédoniens.
Pour le reste, Assassin’s Creed Odyssey offre une belle expérience de jeu, notamment dans ses combats, très rapides, plutôt techniques, et dont la réalisation est assez impressionnante. Néanmoins, cela reste dans la même gamme que ce que l’on nous proposait avec Bayek, et ceux venant de terminer son histoire auront rapidement une impression de déjà-vu. Cependant, les mécaniques présentes dans ces combats sont si bien pensées, que l’on ne peut que les mettre en avant. Alors ne boudez pas votre plaisir, et prenez part à cette aventure. De toute manière, vous devrez bien faire avec, puisqu’il ne devrait pas y avoir d’épisode en 2019. Alors bon, profitons du travail de très grande qualité apporté à ce nouvel opus, améliorant ce qui était déjà plutôt réussi dans la mouture de l’an dernier.
Consolider des bases déjà bien fortes
En outre, nous pouvons aussi compter sur le travail de grande qualité du studio au niveau de toutes les mécaniques issues du RPG. En effet, l’ensemble des activités dont nous avons pu vous parler ci-avant vous apporteront de l’expérience. Oui, même l’exploration de nouvelles zones viendra garnir votre écran d’un +XXX xp. Et à la manière de ce dont nous avions déjà pu voir dans Origins, mais aussi dans Syndicate, Kassandra et Alexios pourront évoluer, au fil des prises de niveaux, dans diverses catégories de compétences. Au nombre de trois, il s’agit du chasseur, du guerrier et de l’assassin. Très explicites par leurs noms, ces catégories consistent en le maniement de l’arc, des armes de corps-à-corps, ainsi que les compétences d’assassinat et de discrétion du personnage.
A la manière de ce dont nous avions déjà pu voir dans Origins, mais aussi dans Syndicate, Kassandra et Alexios pourront évoluer, […] dans diverses catégories de compétences.
Bien entendu, évoluer dans ces catégories ne sera pas gratuit, et vous demandera de monter dans les niveaux afin d’obtenir des points de compétences, qui permettront à leur tour de débloquer la compétence désirée. Parmi ces compétences, certaines pourront être équipées, et pourront être utilisées durant les combats, en lieu et place de la furie du précédent opus. Ainsi, vous pourrez équiper jusqu’à quatre (huit avec la double molette) compétences à utiliser avec soin à mesure que votre jauge de furie, ou d’adrénaline, se remplit. On y retrouve moult possibilités, comme l’empoisonnement via un poison déposé sur vos lames, ou encore la possibilité d’asséner un gros coup de pied en mode « THIS IS SPAAARTAAAAAA ». De quoi apporter de la variété et de la personnalité à vos combats.
Forcément, la nouveauté et l’envie de proposer toujours plus de contenu aux joueurs ne s’arrête pas en si bon chemin, et Ubisoft Québec nous propose également une petite refonte du fonctionnement de l’équipement. Ce dernier apportera divers bonus à votre personnage et à ses compétences, variant toujours un peu plus votre expérience de jeu. Bien entendu, cet ajout est présent de sorte à diversifier deux pièces qui pourraient apporter le même nombre de points d’armure. Dès lors, il va être question pour chacun de bien vérifier de quoi il s’équipe, afin de concorder au mieux à sa façon de jouer. De plus, un passage chez le forgeron vous permettra d’améliorer vos armes, moyennant finance et ressources. De quoi vous permettre de conserver vos armes fétiches un peu plus longtemps si vous le souhaitez.
Voyage en Grèce très réussi !
Et puisque nous n’avons que de bonnes choses, ou presque, à dire au sujet de ce nouvel opus, pourquoi ne pas parler d’un autre aspect très réussi de cette nouvelle production ? Si le moteur reste le même que celui employé pour réaliser Origins, il ne perd rien de sa superbe, et nous offre un cadre idyllique afin de découvrir l’histoire de l’un des deux mercenaires qui nous sont proposés. Les visuels rendent grâce à une Grèce en proie au doute, et propose une véritable expérience pour les yeux. Si la variété des décors a de quoi laisser bouche-bée, il en va de même pour la splendeur des différentes villes, sans compter la vie qu’ont su insuffler les développeurs à l’ensemble de l’univers.
Néanmoins, il reste important de préciser que cette qualité n’est pas sans tares. En effet, les temps de chargement, bien qu’ils soient peu nombreux, sont très longs, et coupent inévitablement l’immersion du jeu dès qu’ils pointent le bout de leur nez. Quelques bugs de textures sont aussi à noter. Et, bien que le jeu présente une fluidité impressionnante, certains aspects de l’animation montrent encore quelques faiblesses. Il y a donc encore quelques petites améliorations à apporter à cette soupe pourtant déjà bien bonne.
Si la variété des décors a de quoi laisser bouche-bée, il en va de même pour la splendeur des différentes villes, sans compter la vie qu’ont su insuffler les développeurs à l’ensemble de l’univers.
Malheureusement, ce n’est pas la seule réprimande que nous ayons à faire pour cette nouvelle aventure dans l’Animus. De ce fait, nous pouvons encore nous plaindre d’une I.A. toujours bancale, et dont les actions relèvent encore de l’aléatoire. En effet, qui ne verrait pas son collègue se faire assassiner sous ses yeux, juste car une brindille rencontre son champ de vision ? Eh bien certains soldats et généraux présents dans le jeu ne voient rien de ce qu’il se passe devant eux, et vous laissent donc vaquer à vos occupations, jusqu’à ce que vous daignez vous occuper de leur sort. Bien entendu, la majorité des ennemis reste réactive et réagit de façon proportionnée et presque intelligente, ce qui peut marquer une petite amélioration par rapport à ce que nous avons déjà pu connaître par le passé. Mais pour notre plus grand plaisir, elle propose aussi un véritable challenge, notamment en agissant avec prudence et réflexion durant les phases de combat, nous gratifiant d’affrontements toujours plus imprévisibles et demandant de la concentration.
Le mot de la fin ?
Forcément, nous ne pouvons pas faire sans rappeler qu’Assassin’s Creed Odyssey est le titre le plus vaste de la franchise, mais aussi le plus complet. Le terrain de jeu sélectionné pour l’occasion, la Grèce, offre une véritable sensation d’immensité, et propose une variété plutôt surprenante dans ces lieux, forçant l’admiration et le désir de tout découvrir, de long en large. Que cela soit pour les grandes villes, les villages ou même les baies désertées, tout tend à donner l’envie de découverte à chacun. Et, si la distance d’affichage n’est pas forcément la plus impressionnante qui soit, on se surprend très vite à oublier l’horizon et à simplement apprécier ce petit moment d’exploration et d’aventure que nous offre le titre, de tous les côtés.
Vous êtes face à un titre impressionnant, plein de promesses pour l’avenir.
Et puisque la carte est grande, le contenu est quant à lui tout aussi gargantuesque. Si les quêtes annexes sont présentes en nombre, les différents lieux à infiltrer, explorer et piller le sont tout autant, sans compter les diverses activités que vous pourrez effectuer de toutes parts, comme la découverte d’une grotte occupée par des loups, l’exploration d’épaves savamment gardées par les requins, ou tout simplement les étendues bleutées que vous voudrez découvrir. Il en va de même pour la trame principale, qui proposera moult missions afin de découvrir ce qui se trame dans la vie du personnage joué. Dommage que certaines quêtes sentent le déjà-vu. Comptez environ une soixantaine d’heures de jeu pour découvrir le dénouement de votre épopée grecque.
Vous l’aurez aisément compris, vous êtes face à un titre impressionnant, plein de promesses pour l’avenir, et qui parvient à garder le joueur intéressé par des quêtes temporaires, et renouvelées chaque jour. De quoi offrir une expérience époustouflante, qui n’a presque jamais de fin !
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