Assassin’s Creed, une licence culte annuelle ayant notamment la particularité de remonter dans le temps pour faire vivre aux joueurs une époque, qui aura véritablement marqué le monde que l’on connaît aujourd’hui. Alors que le précédent opus Unity se déroulait en France et avait reçu de nombreuses critiques assez mitigées, Ubisoft Quebec reprend ses bouquins et parvient à nous apprendre des moments phares de Londres dans les années 1870. Une première pour ce qui concerne l’époque dans la saga qui se trouve exclusivement plus récente que les précédents opus, qui aura donc demandé une lourde prise de risque pour la franchise.
Évidemment, on se souvient tous que l’époque de cet Assassin’s Creed avait été connu peu après la sortie de l’épisode Unity à cause d’une très grosse fuite qui laissait également présager qu’il était question d’un Assassin’s Creed Victory. Prenant place à Londres lors de l’époque Victorienne dans l’objectif de sauver Londres de la misère qui ronge la ville, le nouveau rebaptisé Assassin’s Creed Syndicate vous emportera dans une lutte face aux templiers aux commandes de deux protagonistes jumeaux, du nom de Jacob et Evie Frye. Si cet opus marque un tournant dans les modes de jeux à cause de son absence de multijoueur qui était déjà présent dans tous les opus à partir de Brotherhood, ce sacrifice aurait dû tirer profit à la campagne et au côté technique du soft. Mais le résultat est-il véritablement à la hauteur ?
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Toggle(re)Bienvenue chez Abstergo
Comme nous en avons l’habitude dans la saga, nous commençons cette fois-ci avec une courte séquence se déroulant dans nos jolis jours afin d’introduire nos héros et leur épopée. Cela dit, il n’est cette fois-ci très peu questions de contrôler le « héros » dans l’Helix, l’appareil veillant à plonger le héros inconnu dans la mémoire du personnage historique en question (ici Jacobs et Evie) et où se déroulera véritablement l’aventure. Cependant, vous serez d’un autre côté poursuivit par le maître templier Otso Berg, dont je vous invite aux derniers opus en date pour en savoir plus sur cet homme.
Toujours à la recherche de fragments d’Eden et des secrets des Assassins dans le cadre de l’épopée côté « Abstergo », vous aurez pour mission d’arrêter la prise de pouvoir prise par les Templiers durant cette fameuse ère Victorienne afin de libérer la population de toutes ses conséquences, à savoir en partie un esclavage, une soumission au régime de cette ère. En effet, cette organisation des templiers dirigée par un certain Crawford Starrick prend le dessus sur toute l’industrie de Londres, en témoignera surtout les réseaux de transports ferroviaires, le commerce qui s’en suit, la politique, la mentalité des gangs et la peur des habitants. Mais assez papoter niveau histoire, entrons dans le vif du sujet et parlons de cet Assassin’s Creed Syndicate !
Assassin de père en fils !
Parlons héros et équipement. Assassin’s Creed Syndicate offre pour la première fois une aventure jouable avec deux protagonistes jumeaux. L’un se nomme Jacob Frye, un jeune Anglais au caractère assez téméraire, et l’autre est sa sœur Evie, faisant tout deux partis de la confrérie des Assassins grâce à l’héritage laissé par leur père décédé, et interviennent donc à Londres pour sauver la population du désastre qui ronge la ville. Si l’on retrouve un personnage têtu, un peu arrogant, un peu casse-cou avec bon humour pour le garçon Jacob, on y retrouvera un personnage plus posé, simple et serein beaucoup plus sur les traces de son père pour la jeune Evie. En effet, Jacob semble plus être lancé sur le coup de la constitution d’un gang dont il en serait le chef, en plus de sauver la ville de Londres, tandis qu’Evie tenterais plutôt de mettre la main sur de nouveaux fragments d’Eden comme la confrérie des Assassins en ont fait leur objectif depuis leur genèse, puis également de sauver Londres des mains des templiers. Des personnages qui rappelleront la sérénité d’un Altair, l’humour d’un Arno et la parlotte d’un Ezio. Accrocherez-vous à ces personnages ? Le doute est moindre, car le duo est pour le coup très bien réalisé ! Voilà, l’histoire et les personnages sont introduits, venons-en à des éléments plutôt intéressant.
Assassin’s Creed, c’est culte notamment grâce à la lame secrète. Vous savez, ce gant mythique d’où une lame en sort secrètement ! Et bien la voici toujours disponible dans ce volet pour les deux héros ! Si l’on aurait pu reprocher l’absence de la double lame au début d’Unity (qui rappelons le, devient disponible plus tard dans le jeu), le charme de ces dernières reviennent dès le début du jeu, accompagné d’autres armes qui éveilleront l’assassin qui est en vous. Si l’on devrait commencer par les armes blanches, commençons par un panel sympathique : en majorité, vous retrouverez une arme au thème de Londres, des Canne-épées ! Ces objets combinant « classe » Anglaise et lame aiguisée pour tuer vos adversaires auront peut-être de quoi vous charmer, mais il y en aura également d’autres, comme la présence de divers poings américains et de divers Kukri. Si dans l’ensemble, le genre d’armes est peu nombreux, rassurez-vous en sachant que de nombreuses variétés sont de la partie ! Nous ne retrouverons cependant aucune épée dans ce volet, afin de toujours plus coller dans cette ambiance Londonienne. Si Evie et Jacob partagent les mêmes armes, (signifiant que si vous en achetez une, elle sera disponible pour l’autre), il n’en sera pas de même pour les tenues, et encore heureux ! Enfin, devrions-nous vraiment être heureux ? Alors que l’on se souvient que dans le quatrième volet Black Flag, nous avions droit à un joli vestiaire de tenues pour Edward, ou de pas mal d’éléments interchangeables pour Arno dans Unity, ici le résultat est plutôt… décevant.
Seulement huit tenues pour Jacob contre 7 pour Evie, c’est peut-être chagrinant n’est-ce pas ? Si ces dernières possèdent toujours des attributs pour vous aider à faire votre choix en fonction de votre style de jeu, elles auront quand même le mérite de s’améliorer en dépensant une certaine somme pour accroître l’utilité des attributs, mais également de changer la couleur du revêtement tout comme il l’était possible déjà dans le précédent volet. Bon, grâce à cela, nous pouvons pardonner Ubisoft et se dire que le côté personnalisation n’est pas totalement perdu… Mais il est désolant de ne retrouver qu’une tenue mythique de la saga, celle d’Ezio. Non pas qu’elle nous déplaise, on aurait peut-être apprécié que les tenues des autres assassins soient de la partie.
Avec ces éléments de personnalisation, on y retrouve surtout le retour des capes présentes dans AC2, exclusivement disponibles pour Evie. Pour se distinguer de sa sœur, Jacob retrouvera des ceintures qu’il devra acheter lui-même. Enfin, terminons cette partie personnalisation et équipement en ajoutant qu’il sera possible de changer les gantelets d’assassins, au nombre plutôt satisfaisant de 10 modèles. Dans son ensemble, si l’on fusionne tous ces éléments, le nombre d’objets et tenues à acquérir est plutôt satisfaisant, d’autant plus que l’on y retrouve toujours ce très léger côté « gestion » grâce aux attributs qu’apporte chaque élément pour impacter votre gameplay. Dégâts accrus, précision, discrétion, défense, choisissez une fois de plus votre manière de jouer en alternant Jacob et Evie à tout moment !
Protégeons Londres, ensemble.
Après tous ces éléments évoqués, passons immédiatement au cœur du jeu. Ce nouvel opus Syndicate marque donc une nouvelle époque, dans les années 1870. Ubisoft a donc dû travailler une toute nouvelle architecture, une nouvelle histoire, un nouveau monde comparé à ce que nous avions l’habitude de côtoyer dans la saga. Si on reprochera une introduction phase « tutoriel » assez bâclée au début du jeu à cause d’une mauvaise approche des héros et de peu de didacticiel in-game, le coup sera fort heureusement rattrapé lorsque l’on percera petit à petit dans l’aventure, avec une histoire plus ouverte, plus étoffée de chacun de nos héros.
Lorsque vous rencontrerez le « mentor » de la confrérie des Assassins de Londres, Henry Green, l’aventure démarrera pour vous. Cet homme sera celui qui vous accompagnera pour retourner les templiers et libérer Londres de leur emprise, et si l’on aura du mal à comprendre pourquoi il a les traits d’un hindou, on appréciera l’épaule qu’il jouera tout le long de l’aventure pour vous dans un personnage également attachant. Pour ce qui est de la fin, elle plaira ou non, et aura toujours le mérite d’offrir une séquence au présent pour vous laisser encore impatient pour les futurs volets à paraître. Cependant, il est navrant de se dire que ces scènes jouées à la première personne au présent n’ont véritablement que peu d’intérêt pour la trame scénaristique. Nous sommes donc toujours en attente d’un retour d’un scénario digne de l’ère Desmond, car cet opus Syndicate ne se différencie finalement pas des autres à ce sujet.
La qualité de Londres est-elle So British ?
Le sujet qui fâche, allons-y dans l’ordre. Le level design d’un Assassin’s Creed est rarement raté, qu’on se le dise. La pauvreté arabe retranscrite dans le premier opus, l’Italie dans le second, l’Amérique esclave dans le troisième, les caraïbes dans le quatrième, notre révolution Française dans le cinquième, et ce sixième est la révolution industrielle de Londres. Une ville qui se pollue, qui connaît une certaine misère accentuée par les templiers. Aucun doute, les éléments qui font de Londres une ville industrielle, vivante et qui monte en progrès ne manquent pas.
Tout d’abord, notons la partie graphique qui est certes jolie, mais s’est approprié un teint un peu plus « aquarelle » qu’auparavant sur les personnages. En effet, la touche anglaise a très légèrement changé son design artistique au profit d’un graphisme peut-être plus simple à retranscrire pour définir les visages des habitants, qui sont au passage plutôt convainquant. Là où le sujet fâche, ce sera sur le clipping vraiment conséquent présent dans le jeu. Certes, il n’est peut-être pas observé d’un premier coup d’œil, mais ceux qui recherchent cet élément l’auront remarqué, ce défaut est bel et bien présent ! Les textures semblent avoir un gros laps de temps de chargement et finissent très jolie une fois ces dernières complétées (par contre, grosse mention pour les étendues d’eau vraiment très très laides !). Aucun doute donc, se retrouver sur un toit ou dans les rues de Londres peut s’avérer être très joli si l’on reste immobile. Cependant, pour meilleur exemple, il suffit d’une course dans les rues à pied ou surtout en voiture pour apercevoir des éléments pas encore chargés comme des cailloux dans des flaques d’eau, des textures des immeubles à peine finies et parfois, des voitures à la texture ultra lisse. Deux hypothèses s’offrent à nous, soit effet est volontaire pour afficher la « pollution » que contient Londres, qui donne cet effet de fumée qui masque les détails, ou est-ce bel et bien un défaut rencontré par le moteur graphique. On se rappelle déjà surtout d’un épisode Unity extrêmement souffrant d’un framerate bas et instable contenant du clipping. Fort heureusement, ce clipping ne s’accouple pas à de l’aliasing !
On appréciera également les larges rues de Londres couplées à ces grands bâtiments anglais, nous offrant une belle immersion dans le thème, et surtout ce large espace qui nous est réservé pour nos courses en voiture avec nos chevaux. Car oui, ces grandes ruelles introduisent surtout la nouveauté de piloter des véhicules dans ce volet d’Assassin’s Creed Syndicate ! Fini les longs déplacements à pieds, utilisez des chevaux, ça va plus vite ! La prise de ces véhicules se fera un peu par la même intermédiaire qu’un Grand Theft Auto, à savoir donc rejeter un individu de son véhicule pour le piloter ensuite. De plus, quelques petits éléments destructibles sont de la partie, notamment les lampadaires dans les rues. Oui, c’est pas le plus facile à casser, mais d’un côté, imaginez-vous si vous deviez vous prendre tous les lampadaires de la ville…
Pressez la touche O ou B, volez la voiture d’un Londonien et déguerpissez ! La conduite en elle-même est très agréable sans même être complexe. Comme de nombreux jeux vidéo comprenant des véhicules, appuyez sur une gâchette arrière (R2/RB), démarrez et demandez à vos chevaux d’accélérer. Pour accompagner le tout, il vous sera possible de marquer votre destination sur la carte, et un trajet sera prédéfini pendant votre course afin de vous faciliter grandement la tâche (un GPS en 1870 quoi, c’est pas méchant !)
Pour terminer, il est surtout intéressant à noter que les ennemis ne sont hélas toujours pas diversifiés, en plus d’avoir une intelligence artificielle absolument médiocre. Les « gros » chefs de bandes seront toujours costauds et chauves, les jeunes sbires auront toujours un petit couteau pour vous menacer, et seuls les gros chefs de gangs auront un physique distinct avec en plus, des armes différentes en plus des tenues et un petit discours à vous adresser. De ce fait, on aura l’impression de réaliser un peu tout le temps les mêmes combats face à ces ennemis qui ont vraiment du mal à se distinguer dans l’aventure, sous leur habit rouge.
L’assassin se faufile dans l’ombre
Qui n’aime pas se faufiler derrière un ou plusieurs ennemis, ou infiltrer un camp dans l’ombre… ? Sauver quelqu’un, récupérer un objet, éliminer une cible, éliminer toutes les cibles. Assassin’s Creed a fait de ces éléments son originalité, et les développeurs ont bien compris qu’ils plaisent aux fans. Ce dernier opus ajoute tout de même ses missions secondaires, comme le vol ou des courses en calèches. Ces nouvelles missions secondaires auront le mérite de venir accroître la durée de vie du volet,
En effet, vous retrouverez donc de nombreuses missions de ce type venant diversifier ce dont vous aurez l’habitude de réaliser avec la trame principale. Ce volet Syndicate n‘est pas surtout indemnisé face aux nouveautés de gameplay ! Si les éléments d’attaque ont subi une très grande amélioration en terme de dynamisme et de combos (et possédant même un compteur !), les gestuelles de nos deux Assassins ainsi que leurs aptitudes au free-run ne sont plus autant excitantes qu’auparavant (notamment comme sur l’épisode Unity). On se souvient d’un bel effort pour l’escalade des murs et des redescentes avec style sur cet opus, mais on ressent ici étrangement une suppression de nombreuses animations que nous avions pris plaisir à regarder lorsque l’on grimpait à une bâtiment auparavant. L’escalade sur les bâtiments est moins « acrobatique » comparé à ce que proposais Arno, qui offrait ce style d’escalade très agréable à réaliser et à regarder. Ici, ce n’est que de vulgaires mouvements d’escalade qui ne seront bien évidemment pas handicapant, mais qui auront droit à un ‘dommage’.
Notons à présent une nouveauté conséquente dans cet opus, il s’agit non pas des fameuses calèches comme nous en avions parlé précédemment, mais du grappin. Placé sur votre gant d’assassin, celui-ci aura la même utilité qu’un grappin classique, donc de vous propulser vers des maisons, des surfaces en hauteur, bref, de se déplacer plus aisément. Malheureusement, le grappin ne semble pas si aboutis que ça, puisque deux actions sont véritablement possibles. La touche sur laquelle est attribué ce gadget est L1 pour PS4, ou LT sur Xbox One, et grâce à celle-ci, vous ne pourrez qu’aligner une corde entre deux immeubles, ou bien monter en vitesse sur le toit d’un autre. C’est tout. Ubisoft tenaient-ils vraiment à mâcher le travail aux joueurs ?
Ajoutons à tous ces éléments précédemment cités le côté gestion de gang. Les Rooks sera le nom de cette équipe qui sera menée par Jacob, l’Homme de la situation qui veut sauver Londres du règne des templiers. L’idée sur le papier aurait pu être sympathique si le jeu proposait une gestion du gang approfondie, un peu à la manière de la bataille navale pour AC4 et Rogue. Nous aurions pu avoir une autre occupation dans le jeu que les trames principales et secondaires. Mais non, les Rooks n’auront la possibilité d’être que 5 pour vous aider dans vos périples, même s’il sera possible d’en recruter plus, mais n’auront pas d’autres intérêts que de de se joindre à vos combat. De plus, ces derniers adoptent une stratégie assez barbare, qui colle certes avec le style de Jacob, mais qui vous empêchera donc de tenter une approche furtive si voulu. Ajoutons côté gestion du gang un arbre de compétences, qui malgré tout reste relativement correct en nombres et critères d’améliorations.
Après avoir évoqué les changements, améliorations et modifications du jeu en faisant part d’éventuels défauts, il y a des éléments très important à ne pas négliger pour envisager un éventuel achat. En effet, nous savions que Syndicate avait pour but de ne pas répéter ses erreurs parues dans Unity. Certainement, ces dernières ont été revues et cela se sent. Cependant, les problèmes d’Unity se sont retrouvés parfois nettement améliorés, mais entrainant hélas une baisse de qualité dans le reste des éléments. J’explique sur un exemple concret, la profondeur de champ. Les anciens volets avaient de très belles vues lorsque l’on regardait au loin, on se souvient surtout de Rogue et Black Flag pour leurs somptueux passages en bateau. Ici, le résultat n’est pas médiocre, mais l’on ressent très clairement qu’Ubisoft a réalisé de nombreux sacrifices pour améliorer les performances de son moteur graphique (qui mériterais au passage un bon coup de jeune !) et surtout le laisser souffler. Effectivement, on aperçoit du clipping à de nombreuses reprises en avançant dans le jeu, et celui-ci peut paraître parfois discret. Mais ce clipping cause également de nombreux éléments qui ne sont pas apercevables au loin ! Nous ne retrouverons donc pas une ville de Londres au complet en regardant au loin, mais des nuages provenant des usines, avec quelques cheminées à l’animation très bâclée !
Si cet élément n’est pas le seul, on pourrait également noter d’autres textures qui ont réellement été oubliées, notamment pour des étendues d’eau et des phases de nage extrêmement fades. Aucune animation, ni même d’effet mouillé sur les habits n’en ressortirons, et ça, ça nous rend triste ! Pourquoi si triste me direz-vous, et bien parce que Assassin’s Creed Syndicate était censé être dépourvu de tout mode multijoueur (et non, pas de coop ni de online sur cet opus) pour véritablement se focaliser sur un scénario prenant, des personnages attachants, un level design appliqué et un aspect technique soigné, un « retour aux sources ». Le sacrifice du multijoueur a donc été un choix conséquent, mais qui ne se retrouve finalement absolument pas dans le jeu. Le plus blessant dans tout cela, c’est que l’on ressent souvent que le travail n’est pas achevé et que le jeu pourrait être beaucoup mieux, on y retrouve de nombreux « manque » dans certaines mécaniques, que ce soit de combat, free-run, de graphisme, d’histoire ou tant d’autres éléments.
Pour ceux qui suivent l’actualité du jeu de près, vous n’êtes également pas sans savoir que cet opus se concentrait sur un « retour aux sources », mais à vrai dire au vu des éléments, il est plutôt question d’une reprise des idées de certains éléments qui ont fait le culte du second opus qu’un véritable changement.
*à noter que le test a été en majorité réalisé sur un écran d’environ 130cm. Le jeu a donc rencontré de nombreux soucis d’affichage, dont un énorme notable : Jacob et Evie ont été en permanence entourés d’une aura assez large et très floue, donnant un rendu très désagréable à l’œil. Cependant, ces soucis n’ont pas été rencontrés sur un écran de 80cm.
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