Plus d’un an après la sortie dans les salles obscures de Avatar 2 : La voie de L’eau, il faut dire que l’on attendait avec grande hâte le jeu tiré de la franchise cinématographique, nommé Avatar: Frontiers of Pandora. Prévu dans un premier temps pour 2022 avant d’être repoussé pour cette fin d’année, le 7 décembre sur PC, PS5 et Xbox Series, il s’est longtemps fait désirer. D’autant que c’est seulement le second jeu Avatar dans le paysage vidéoludique, après un James Cameron’s Avatar : The Game en 2009 qui n’avait pas marqué les esprits.
Mais qu’à cela ne tienne, Avatar: Frontiers of Pandora va tenter de réparer cet affront, et part avec un avantage. Le titre est développé par Ubisoft Massive, que l’on connait majoritairement pour les Tom Clancy’s : The Division, vraiment très bons. De quoi partir confiant sur cette adaptation vidéoludique ? Finalement, et vous allez voir pourquoi, Avatar: Frontiers of Pandora aurait pu faire mieux, même si le résultat est plaisant dans l’ensemble.
Conditions de test : Nous avons terminé Avatar: Frontiers of Pandora en environ 30h en allant globalement en ligne droite, en nous permettant une poignée de quêtes et d’activités secondaires. Le titre a été testé sur PC avec 32 Go de RAM, une RTX 3070 et un i5-12400 (2.50 GHz).
Sommaire
TogglePandora, la terre sacrée souillée par la RDA
Sans trop en dire sur la narration, l’intrigue de Avatar: Frontiers of Pandora est plutôt en dents-de-scie. Il faut savoir que le titre nous propose, au début quelques cinématiques qui nous placent avant et après l’affrontement sur la montagne Hallelujah, pour ensuite nous propulser directement en 2168, soit une petite année avant le second film de James Cameron. Nous y incarnons un ou une Na’vi dont le nom n’est à aucun moment prononcé, et nous sommes issus du clan Sarentu, décimé sans que l’on sache comment, biberonné par la suite par la RDA.
Ainsi, après avoir été cryogénisé durant 15 ans, votre objectif sera, en plus de retrouver vos origines, de vous familiariser à nouveau avec la faune et la flore de Pandora en compagnie de vos comparses qui se sont échappés avec vous. Bien évidemment, tout ne sera pas simple, car la RDA est plus que jamais présente, sous le joug de Mercer. Concrètement, il faut avouer que l’histoire du jeu est aussi maladroite que l’était Avatar 2: La voie de l’eau si l’on doit comparer.
Effectivement, si nous apprécions que le lore se soit beaucoup épaissi, avec la rencontre de nouveaux clans et leurs coutumes envoutantes, force est de constater que le pitch est finalement prévisible. Certains rebondissements se voient à des kilomètres et bien que l’enjeu, à savoir sauver Pandora des griffes de la RDA, se fasse ressentir et que quelques révélations bouleversantes prennent aux tripes, tout est presque annihilé par cette prévisibilité.
Néanmoins, revenir sur Pandora est plaisant, avec un lore respecté par Ubisoft Massive. Nous pourrons aussi noter un titre dans l’esprit du premier film, avec notamment cette dénonciation de la colonisation qui avait été plutôt bien traitée sur le long-métrage de James Cameron. Également, quelques séquences marquent un tant soit peu, tout en se dotant de petits clins d’œil aux personnages des films. C’est au moins ça de pris. Sachez qu’il y a un éditeur de personnage qui existe, certes, tout en restant hélas trop sommaire avec des possibilités de modification limitées si on le compare à d’autres grosses productions.
En dehors des écueils sur la narration, qui se laisse suivre bien qu’il y ait quand même trop de personnages à présenter, le monde de Pandora dispose d’une direction artistique des plus ensorcelantes. Les différents biomes qui nous sont donnés d’explorer sont somptueux, et surtout fidèles. Cela fait plaisir de voir un jeu Avatar orné de forêts et de plaines à perte de vue, tout en se dotant d’une faune et d’une flore très vivantes. Il n’y a pas à dire, s’il y a bien un aspect sur lequel a excellé Ubisoft Massive, c’est dans sa capacité à donner vie au monde de Pandora
Souple et dynamique comme un Na’vi, avec ses défauts
Côté gameplay, Ubisoft Massive a fait le choix de la vue FPS, qui s’avère quand même payant. En plus d’être immersif comme les développeurs le souhaitaient, les déplacements de notre Na’Vi sont agréables. Avec une taille largement supérieure à un humain, comme dans les films, nous ressentons directement sa vélocité et son agilité. En revanche, sur l’aspect plateforme du jeu, on aurait aimé un peu plus d’animations, comme le fait de s’accrocher sur un rebord. Nous avons la nette impression que le soft n’a pas été plus approfondi ou travaillé sur ce côté-là, d’autant qu’il souffre d’imprécisions agaçantes lorsqu’il s’agit de monter certaines plateformes.
Par contre, les gunfights proposés sont meilleurs, mais tout aussi perfectibles. Si le feeling global est aussi nerveux et vivace qu’un Far Cry, sachez que l’approche est diamétralement différente. Vous aurez un total de sept armes (fronde à manche, fusil d’assaut et à pompe, arc court, long et lourd, lance roquettes qui apparaissent de manière ponctuelle), et la furtivité sera plus que privilégiée. Car y aller en mode bourrin ne sera pas souvent la solution, votre Na’Vi pouvant très vite mourir au vu de sa fragilité. Les seuls outils taillés pour l’infiltration sont les grenades incapacitantes. Elles étourdiront les AMP de la RDA, et c’est à ce moment précis que vous pourrez utiliser une exécution (sous réserve d’avoir débloqué la compétence).
Dans la pratique l’idée est bonne, même si l’infiltration proposée ici est très loin d’un Far Cry où les joueurs avaient des billes supplémentaires pour mener à bien leurs attaques furtives. Ici, mis à part les grenades incapacitantes, vous ne pourrez qu’assener des coups de poing aux humains basiques, ce qui fait un peu cheap. Vous l’aurez compris, le côté furtif n’est pas assez bien exploité, et souffre par ailleurs d’une IA aux fraises. Elle peut parfois ne pas vous repérer quand vous êtes tout proche, comme vous voir d’assez loin. La calibration est mal ficelée, bien que l’utilisation du décor, de la faune et de la flore de Pandora peut vous permettre de prendre l’ascendant sur l’adversaire.
Nous avons la forte impression qu’Ubisoft Massive n’a pas trop l’habitude de développer ce genre de gameplay. Cela se ressent aussi à l’utilisation du fusil d’assaut et du fusil à pompe, dénués de visée précise, ce qui est un peu trop déroutant et fait vieillot. Autrement dit, les développeurs se sont beaucoup plus focalisé sur les combats à l’arc ou à la lance que sur les armes à feu, alors que votre protagoniste a quand même été entrainé et élevé par la RDA. Il est aussi important de souligner que la difficulté du jeu est parfois injuste. Effectivement, il n’est pas rare d’avoir un petit niveau de puissance d’écart entre votre personnage et la quête, et votre Na’Vi peut très vite se faire mitrailler et mourir en seulement quelques balles. Cet équilibrage est un poil frustrant, et force un peu trop au grind. Alors oui, il y a bien quelques équipements avantageux que vous récupérez çà et là lors des missions principales, mais ce n’est pas suffisant.
Outre la RDA, le danger proviendra aussi de l’environnement de Pandora. En effet, il ne sera pas rare de vous prendre des dégâts à cause de la flore toxique ou explosive, comme de vous faire attaquer par la faune locale. Cet aspect est plaisant, et permet de varier les plaisirs. Car dans l’absolu, Avatar: Frontiers of Pandora dispose de quêtes certes bien ficelées, mais avec une répétitivité flagrante sur les objectifs de mission, qui vous font un peu trop aller dans des avant-postes de la RDA afin de les détruire voire pirater divers terminaux pour en apprendre plus sur les intentions de la corporation par exemple. Il y a bien quelques éclairs de génie, avec certaines quêtes diversifiées où vous devez lier des indices entre eux ou désactiver des mécanismes via des « pseudo énigmes » mais, en globalité, le titre aurait pu faire largement mieux. Idem pour la clarté de la progression, pas toujours optimale lorsque l’on se surprend à chercher certains indices, ou la direction à suivre.
Sachez que votre protagoniste aura à sa disposition une vision Na’Vi, assez classique. Celle-ci vous permettra de voir les nombreuses caisses, plantes ou objets avec lesquels interagir, ainsi que les objectifs de mission. C’est une feature générique qui marche, et notez que vous aurez la possibilité d’enlever la moindre indication avec son mode exploration, qui vous pemret de visiter Pandora à votre guise, sans être embêté par le halo bleu de quête en utilisant cette vision. Cela permet de toucher tous les types de joueurs, bien que de notre côté le mode guidé ne nous a pas semblé si envahissant que ça, surtout si on n’utilise pas le sens Na’Vi toutes les cinq minutes.
Adopte un Ikran
Parmi les différentes features de gameplay, le vol à dos d’Ikran était attendu au tournant, et il faut dire que la manipulation de notre créature est très grisante. Après une quête de l’histoire, vous aurez le loisir de personnaliser et nommer votre Ikran, dans un éditeur qui encore une fois, est sommaire. Une fois cela fait, les sensations de vol en vue TPS sont prenantes. Qui plus est, il est possible de l’améliorer via un arbre de compétences, lui donnant de nouveaux mouvements qui peuvent être utiles si vous affrontez la RDA.
Il s’agit là d’une idée de gameplay qui fonctionne, d’autant que c’est LE moyen de transport qui sera le plus rapide, outre le voyage rapide qui consomme votre énergie. Notre créature aura une jauge de vitesse mais aussi d’énergie, similaire à celle de notre protagoniste. Cette seconde jauge servira à faire regagner de la santé. Si elle tombe à zéro, il vous sera impossible de vous remettre sur pieds, et il faudra nourrir votre Ikran même en plein vol, via de la nourriture durement acquise.
Avatar Frontiers of Pandora : Détails des éditions (prix, précommande, contenu…)
Bien entendu, les combats aériens sont réussis. Certes le bestiaire n’est pas bien diversifié avec des hélicos de la RDA ou d’autres monstres volants que vous croisez très rarement, mais il faut dire les affrontements aériens proposent quelque chose de solide. Il y a quelques imprécisions, il est vrai, mais le tout demeure très agréable. A savoir qu’il sera aussi possible de se connecter avec d’autres montures terrestres, mais sachez que cela sera limité dans le temps, contrairement à notre Ikran avec qui la connexion est permanente. Et puis il faut dire que sauter dans le vide et appeler notre bête ailée qui vient nous réceptionner, c’est plutôt classe.
Néanmoins, votre Ikran ne pourra pas tout de suite vous suivre dans n’importe quel biome une fois acquis à votre cause. Vous devrez systématiquement, via une quête du mode histoire, accéder à des endroits spécifiques et vous y connecter, afin de pouvoir faire entrer votre compagnon dans ces nouvelles zones. Là encore, c’est un petit détail qui fait son petit effet, et qui arrive à nous immerger un peu plus profondément dans le monde d’Avatar: Frontiers of Pandora, transpirant la fidélité à la licence cinématographique.
Chasse pêche et récolte, le trio gagnant
La chasse et la pêche sont des aspects que n’a clairement pas délaissé Ubisoft Massive. Pour récupérer des choses intéressantes sur notre proie, il faudra être méthodique en visant le bon point faible sur chacune des créatures, histoire de tirer le maximum de qualité. Ce sera donc primordial d’utiliser un arc voire une lance, plutôt qu’une arme à feu. Sans ça, le trophée sera médiocre et vous ne pourrez pas en tirer grand-chose.
Le soin apporté au côté chasse est une réussite, comme la traque de vos proies. En utilisant votre sens Na’Vi, vous pourrez observer des pistes olfactives, pour une traque beaucoup plus simple et jamais frustrante. Il sera ainsi très aisé de retrouver les créatures à chasser qui se seraient enfuies, afin de les éliminer et récolter leur viande ou leur peau pour le crafting. Pour la pêche également, ce ne sera pas bien compliqué, mais il faudra un bon timing pour récupérer votre trophée maritime.
Si la chasse comme la pêche proposent quelque chose de grisant, et sont au service du crafting, la récolte des matériaux l’est tout autant. Entre des fruits en passant par de la mousse, des branches spécifiques ou des algues, il y aura beaucoup à récolter sur les terres de Pandora. Qui plus est, le temps qu’il fait et la façon de cueillir auront un impact sur sa qualité. Et pour récupérer la plupart des matériaux, il faudra effectuer un petit QTE. Cela apporte une petit touche d’immersion bienvenue.
De l’artisanat à la cuisine, il n’y a qu’un pas
La plupart des QG visités vous permettront d’accéder à beaucoup de choses, à commencer par les nombreux marchands. Dans le QG de la résistance, ces derniers pourront vous vendre des équipements, ressources ou armes contre des pièces détachées de la RDA trouvables dans diverses caisses, voire des tableaux de services. A l’inverse, chez les autres clans tout se paiera en « faveur de clans ». Ce qui signifie qu’il faudra réaliser leurs quêtes, ou déposer des objets précis dans le panier communautaire. Au début, cela fait quand même beaucoup de monnaies à ingurgiter, bien que l’on arrive à s’y faire à terme.
L’établi sera aussi l’un des éléments centraux du soft. En acquérant des plans auprès des marchands, vous pourrez confectionner de nouveaux équipements ou armes. Et ce sera justement la qualité de la ressource qui donnera à votre arme le nombre de dégâts, ce qui fera monter ou non votre niveau de puissance si vous l’équipez. Dans le fond, le système est plutôt bon, bien qu’il soit frustrant que l’on ne puisse pas changer la qualité du plan. On sent qu’Ubisoft Massive juste gratté la surface de cette mécanique, qui aurait pu être grandiose.
Au moins, la station de cuisine dispose d’une feature très intéressante. En associant deux types d’ingrédients à chaque fois, vous pourrez créer des recettes. Et en plus de régénérer instantanément votre énergie, comme une ration de RDA classique que vous pouvez trouver dans des avant-postes, ces plats fraichement préparés vous conféreront des bonus temporaires. Ceci rajoute de petits avantages supplémentaires lors de vos durs affrontements avec la RDA ou la faune de Pandora.
Pimp ton Na’Vi
La personnalisation de notre héros est aussi une chose importante, avec l’assignation d’équipements et de pétoires. Tout comme dans un Tom Clancy’s : The Divsion 2, Avatar: Frontier of Pandora donne au joueur la possibilité de customiser son Na’vi de la tête aux pieds. A chaque fois que vous équipez un item ou une arme plus huppé, vous augmenterez logiquement le niveau de puissance de votre personnage. Globalement c’est très basique, même si nous pouvons être surpris par le manque d’indication des récompenses de fin de quête, voire lorsque nous montons notre niveau de puissance.
Il y a donc hélas pas mal de coquilles sur cet aspect-là, bien que le système de compétences demeure bien huilé. Vous aurez à disposition pas moins de cinq arbres de compétences différents (survivant, guerrier, chasseur, fabricant et chevaucheur), ainsi qu’un sixième qui est bien particulier. En finissant des quêtes ou en montant de niveau de puissance (là encore, c’est très mal indiqué dû à l’absence regrettable d’une jauge d’expérience), vous pourrez gagner des points de compétences à assigner à ces cinq arbres. Cela vous permettra de gagner de nouveaux emplacements pour vos sacoches médicinales qui arrivent en complément de votre jauge d’énergie, en passant par la récupération de flèches sur vos ennemis. Qu’on soit clair, les compétences n’inventent strictement rien, même si cela fonctionne encore dans la pratique.
Enfin, il y a l’arbre de compétences des ancêtres. Celui-ci ne sera rempli qu’en trouvant des plantes précises dans les divers biomes de Pandora. C’est par ce biais que vous pourrez déverrouiller de nouvelles compétences, comme la réalisation d’exécutions sur les AMP de la RDA. Tout ceci est une bonne idée, dans la mesure où cela encourage à l’exploration, ce qui n’est pas un mal finalement.
Des activités à pertes de vue trop génériques
En dehors des quêtes de l’histoire du jeu, qu’est-ce qu’il reste ? Eh bien, sachez qu’Avatar: Frontiers of Pandora est bien généreux en matière de contenu annexe. Si l’on excepte les avant-postes à n’en plus finir et qui deviennent indigestes à cause de la répétitivité flagrante des assets utilisés, sachez qu’il y a bien d’autres choses à faire. Il y aura des labos à réalimenter en les piratant et en réussissant un mini-jeu, la destruction de petits avant-postes flottants, des animaux à calmer pour leur enlever des traceurs de la RDA, ou encore tout simplement les quêtes annexes des clans.
Qui plus est, il n’est pas rare de faire la rencontre en chemin de quelques autres Na’Vi. En parlant avec eux, ces derniers peuvent pour donner des ressources voire des plats déjà préparés. De plus, il est possible de trouver les divers tigecloches vous procurant de la santé en plus définitivement, voire les pousses de Tarsyu, vous octroyant un point de compétence supplémentaire en les touchant.
Autrement dit, les activités secondaires sont gargantuesques et la vie omniprésente sur Pandora aide quand même à nous donner envie d’explorer le moindre recoin. Sur la durée de vie par ailleurs, sachez qu’il vous faudra dans un premier temps presque 30 heures pour boucler le jeu en ligne droite. En somme c’est une très bonne durée de vie, et sachez que le endgame vous permet de continuer à effectuer les avant-postes et quêtes annexes restantes. N’oublions pas également de préciser que le titre peut se faire en coopération, à la manière d’un Far Cry, où une autre personne peut vous rejoindre pour faire quelques avant-postes ensemble.
Une ambiance graphique et sonore qui fait frissonner, ou presque
Si la question vous brûlait les lèvres oui, Avatar: Frontier of Pandora est très beau, du moins sur PC vu que nous n’avons pas touché à la version consoles. Les différents environnements sont sublimes, et le souci du détail se ressent à chaque instant. Il n’est pas rare de rester à bouche bée devant certains arrière-plans qui en jettent vraiment, et le niveau de détail des modèles 3D reste globalement bon.
Bien entendu, et ça on s’y attendait, le résultat est contrebalancé par des textures inégales et quelques bugs. Si l’optimisation est bonne, il faut quand même souligner que le jeu souffre de clipping lorsque nous sommes à dos d’Ikran, de retards d’affichage parfois alarmants, mais aussi de bugs avec des ennemis qui font un peu n’importe quoi. Ou même tout simplement des bugs de collision. Nous avons déjà eu un patch de 2Go lors de notre test qui n’a pas corrigé cela, et on espère qu’un autre surgira pour gommer ces quelques coquilles qui entachent l’expérience.
Enfin, le sound design d’Avatar: Frontiers of Pandora est quant à lui sublime et sans accroc, ou presque. On notera un doublage français de qualité, mais aussi des musiques géniales. Elles sont composées par Pinar Toprak, qui a officié sur les musiques du long métrage Captain Marvel. Bon ce n’est pas un super exemple mais il admettre au moins que la fidélité va jusque dans la bande-son qui est, il faut le dire, un pur régal pour les oreilles car elle retranscrit avec justesse l’univers des films. Par contre et il faut bien pinailler là-dessus, des bugs de son demeurent à signaler. Encore une fois, attendons un autre patch afin de voir si ce problème sera définitivement réglé.
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