DiRT Rally a été le jeu, par excellence, de la simulation de rallye ultime et vous pouvez découvrir toutes les éloges à son sujet dans notre précédent test. Son point noir résidait dans son maigre contenu. Aujourd’hui, le nouveau DiRT de Codemasters est DiRT 4 et en proposant plusieurs disciplines, il permettra aux joueurs de varier les plaisirs et surtout, de proposer un contenu plus conséquent. Néanmoins, sachez tout de suite que ce DiRT 4 sera moins difficile à maîtriser qu’un certain DiRT Rally qui nous proposait une simulation extrême qui pouvait décourager les novices.
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ToggleSimulation ou arcade au choix
DiRT 4 sortira donc ce 9 Juin sur consoles et PC et si vous cherchez un bon p’tit jeu de voitures, peut-être qu’il saura vous séduire puisque premier point positif, son accessibilité. Effectivement, si DiRT Rally en aura peut-être découragé plus d’un par son exigence, sachez que ce DiRT 4 met les choses au clair dès la première course. Effectivement et en guise de tutoriel, le titre va chercher à évaluer votre niveau. Ainsi, deux conduites pourront être sélectionnées : Gamer ou Simulation.
Comme vous vous en doutez, le gameplay Gamer proposera un fun immédiat, des véhicules extrêmement faciles à prendre en main et un plaisir qui sera clairement immédiat… Après quelques tests dans chaque discipline par la suite, nous n’avons que très peu testé cette difficulté et la raison à cela est simple, c’est parce que l’on fait partie de la tranche cherchant du challenge. Néanmoins et rassurez-vous, si vous êtes un néophyte des jeux de course, il est clair que le choix de conduite en Gamer s’avérera être le meilleur départ possible pour bien débuter ou alors, c’est aussi le mode idéal pour les habitués des jeux de voitures qui souhaitent simplement un plaisir non stop et sans prise de tête.
Cela étant dit, la conduite simulation sera forcément plus réaliste, mais néanmoins, ce ne sera pas aussi compliqué à prendre en main qu’un DiRT Rally. Effectivement, dès les premières spéciales de rallye, les connaisseurs ne tarderont clairement pas à prendre leur marque et à bien gérer les différents virages. Cela étant dit, le jeu propose des possibilités de paramétrer différentes aides comme le système antiblocage des roues, le freinage à la décélération, le système antipatinage, le contrôle de la stabilité, ou encore des détails comme l’obligation d’une vue intérieure pour jouer ou l’utilisation non automatique des essuies-glaces. Enfin, si le jeu ne propose pas de fonction rewind, il vous propose un nombre configurable de droit à recommencer une course… Effectivement, cela peut s’avérer pratique en cas de faux départ ou de mauvais virage alors que vous étiez premier… Néanmoins, sachez que vous pouvez aussi jouer sans pour autant rendre le championnat plus ardu.
Toutes ces options-là permettent également d’ajuster un bonus de difficulté ! Ainsi, plus le pourcentage est élevé et donc, plus le jeu est dur, plus vous serez récompensés en argent après avoir fini une course. A noter au passage que le bonus de difficulté ne tient pas compte du choix de style Gamer ou Simulation et que pour l’un comme l’autre, vous pouvez modifier les mêmes paramètres et ajuster cette difficulté générale comme bon vous semble. C’est un bon point donc à ce niveau et sachez que pour ceux recherchant vraiment les aspects techniques, avant une course, il est possible de régler le véhicule et là, les réglages minutieux en tout genre sont possibles ! Vous pourrez ainsi paramétrer en détail les freins, l’alignement, le différentiel, la transmission, les amortisseurs, les ressorts et enregistrer vos réglages afin de pouvoir les recharger à chaque fois que cela est nécessaire.
En tout cas et pour vous donner un exemple, chaque discipline proposée dans DiRT 4 a une approche de gameplay différente. Nous y reviendrons mais sachez que de mon côté, en simulation, les premières épreuves de rallye ne m’ont posé aucun problème. Par contre, dès que je me suis retrouvé en buggy ou camion d’arène ou en crosskart, il m’a fallu bien quelques courses avant de « maîtriser », – c’est un bien grand mot -, le domaine. Par contre, côté fun, pas d’inquiétude, c’est top mais… nous y reviendrons plus en détail un peu plus loin. Dernier point au passage sur la difficulté, il est plutôt pratique de pouvoir ajuster le niveau des opposants d’un championnat à l’autre puisque cela permet de profiter de bonus supplémentaires mais aussi, de rajouter un peu de challenge. Effectivement, on aura tous des disciplines où l’on sera meilleur à l’image du rallye pur et dur pour ma part.
Cela étant dit, parlons de choses qui fâchent… En effet, il est vrai qu’au premier coup d’œil, DiRT 4 n’est pas graphiquement impressionnant. Il est beau mais il est vrai que les jeux du genre (rallye) ont du mal à afficher des progrès nous arrachant la rétine ces dernières années. Il y aura quelques textures inégales à l’image des arbres du Michigan aux Etats-Unis. D’un autre côté, il offre souvent des panoramas assez sympathiques avec de jolis paysages. En effet, si vous avez le temps de regarder le décor, il est clair qu’on l’on contemplera parfois l’environnement. Néanmoins, on appréciera les conditions météorologiques comme la pluie, la neige et le brouillard qui ont le mérite de rajouter de la difficulté lorsque l’on conduit. A cela, on constate évidemment que la conduite change selon le revêtement du sol et le plaisir de conduite est clairement là et ce, tout comme l’impression de vitesse qui est assez importante et qui nous donne l’adrénaline que l’on attend. Néanmoins, on espère que le prochain volet saura apporter une touche plus poussée des graphismes qui ont tendance à stagner… Le jeu ressemble clairement à un certain DiRT Rally.
Du côté des véhicules, ils sont comme d’habitude parfaitement réalisés et les bruits de moteur feront plaisir à nos petites oreilles dès les premières minutes. Ce sont donc plus de 50 voitures de rally qui vous attendent à l’image de la Ford Fiesta R5, la Mitsubishi Lancer Evolution VI, la Subaru WRX STI NR4, Peugeot 306 Maxi, Mini Cooper S ou encore, l’Audi Sport quattro S1 E2 et même les véhicules Larock 2XR Buggy, Speedcar Xtrem et les Jackson Pro-Truck 2 et 4. Il y a des véhicules en provenance de chacune des disciplines proposées à savoir, le rallye et le rallye historique, le rallycross et le landrush.
Evidemment, il est possible de jouer avec plusieurs vues différentes dont celle vous permettant d’être au volant ! Ici, on appréciera comme d’habitude les efforts effectués pour la reproduction des cockpits pour propulser l’immersion. Enfin, avec toutes ces belles voitures, vous pourrez parcourir différentes destinations ! Effectivement, vous vous rendrez dans les pays suivants : l’Australie, l’Espagne, la Suède, les Etats-Unis, le Pays de Galles, le Mexique, l’Angleterre, la France, la Norvège et le Portugal.
Petite parenthèse sonore puisque l’on vous parlait des moteurs des bolides convaincants du jeu, sachez que pendant que vous parcourrez les menus, vous aurez droit à une playlist complète et vraiment sympathique. The Amazons, Sigma, Freak, Chemical Brothers, Disclosure, Bastille et même, Queens Of The Stone Age avec l’excellent morceau No One Knows.
DiRT Tycoon
DiRT 4 vous propose donc de gérer la carrière de votre pilote qui aura pour objectif, d’atteindre les sommets et être en haut du podium. Vous pourrez choisir parmi quelques pilotes différents et sachez qu’il y a même des profils féminins ce qui fait bien plaisir à voir. Cela étant fait, il est temps de donner un nom, un âge et une nationalité à votre pilote qui, à peine après sa première course, pourra créer sa propre écurie et là, le jeu prend un aspect tycoon comme on le disait… enfin, c’est à faible échelle, rassurez-vous.
Effectivement, gagnez des championnats et des courses va vous permettre d’acheter de nouveaux véhicules neufs ou d’occasion mais aussi, d’entretenir votre écurie. En effet, vous allez pouvoir recruter du staff comme des ingénieurs, un RP pour gérer la communication et vos sponsors, un co-pilote et quelques autres postes. Mention spéciale au co-pilote d’ailleurs… Effectivement, si ce dernier n’est pas français, sachez qu’il vous parlera dans sa langue natale… Ainsi, imaginez un peu en rallye les annonces en allemand ou en anglais… Pas forcément simple mais au moins, c’est plutôt réaliste !
Cela étant dit et comme on le disait, acheter une voiture d’occasion vous permet de la payer moins cher, forcément. Néanmoins, les pièces équipées dessus pourront être parfois de « mauvaise qualité ». En effet, que ce soit les personnes à recruter ou les pièces de véhicules, ceux-ci disposent d’un rang allant de E à A et forcément, plus le rang est élevé, plus ils sont compétents. Pour les voitures, pas d’inquiétude, ce n’est pas parce que vous avez les dernières pièces que vous aurez un monstre de guerre allant à toute vitesse. En effet, la qualité de la pièce n’augmentera que sa résistance. Néanmoins, plus la pièce est de bonne qualité, plus elle est chère et plus elle est longue à réparer.
Mais ce n’est pas tout, les employés disposent d’une jauge de moral qu’il faudra garder dans le positif mais ils ont aussi un rang à côté de leur photo de profil. A côté de cela, les prendre dans votre équipe vous coûtera des frais d’embauche et une part sur les gains des courses. En échange, ceux-ci vont apporter une grande aide à l’écurie. Par exemple, l’ingénieur en chef pourra régler précisément vos véhicules, estimer les temps des réparations et diagnostiquer les dégâts qu’il faut réparer. Petite parenthèse à ce sujet, comme vous pouviez le voir un peu plus haut, vous pouvez régler vos véhicules dans les moindres détails… L’ingénieur en chef, lui, va les régler pour vous ce qui fait que c’est très intéressant pour les novices du genre qui ne souhaitent pas toucher aux réglages par manque de connaissance. Néanmoins et vous l’avez compris, il faudra vite acquérir un ingénieur en chef avec un rang A histoire de disposer du top des réglages pour chaque situation.
D’un autre côté, on trouve le relation presse qui lui, ou elle, va s’occuper des négociations avec d’autres écuries afin que vous puissiez piloter des voitures que vous ne possédez pas sous les meilleures conditions mais aussi, celui-ci va gérer les sponsors et les négociations pour les embauches de votre staff ainsi que s’assurer du bien être de ce dernier. Enfin, les membres travaillant pour vous peuvent également débloquer une compétence spéciale en échange de votre argent. Par exemple, la RP peut devenir experte en négociation avec des marques spécialisées dans la musique tandis que l’ingénieur peut être un expert en véhicule français ce qui fait que lorsque vous en utilisez un, ces compétences sont améliorées !
Bref, pour en revenir aux fameux sponsors, il y en a beaucoup et dans tous les genres. On trouve Sound Network ou encore Clarion pour l’audio, Enkei Wheels ou BRAID pour les jantes… Bref, il y en a pour tous les goûts et ceux-ci vous donneront des objectifs pour chacune de vos courses et si vous les réussissez, vous améliorerez vos relations avec eux et obtiendrez toujours plus d’argent. En échange, il faudra afficher leur nom sur vos bolides pour chacune de vos courses. Les contrats sont temporaires et c’est votre RP qui les négocie…
En plus d’avoir tout un tas de marques affichées sur vos véhicules comme toutes les plus grandes écuries, vous allez pouvoir aussi customiser celle-ci un max. En effet, via le menu, vous pourrez vous rendre dans image de marque et sponsors et après un long temps de chargement, – le pire et le plus dérangeant dans ce DiRT 4 -, vous aurez accès aux sponsors et à d’autres options… En effet, vous allez choisir le nom de votre écurie, son motif parmi quelques choix, les couleurs à poser sur le fameux motif et les infos à afficher sur la voiture comme la couleur de votre nom ou votre numéro. Comme une image est généralement plus parlante, vous pourrez voir l’écurie ActuGaming avec le choix de nos couleurs ci-dessous. Le détail intéressant est de voir les personnages, les véhicules et les éléments de décoration présents dans la zone qui prennent également les couleurs que vous avez choisies.
L’écurie ActuGaming a ouvert ses portes
Cela étant dit, tout comme ActuGaming, l’écurie a besoin d’évoluer et pour cela, on trouve un autre aspect gestion qui marche avec le système de rangs présenté il y a quelques minutes et il s’appelle Installations. Les installations permettent, par exemple, d’agrandir votre garage ce qui permet d’augmenter le nombre de véhicules que vous pouvez stocker. Elles permettent aussi d’améliorer la qualité de l’atelier pour réduire le coût des pièces d’amélioration, d’augmenter vos chances de trouver des véhicules rares dans les petites annonces ou encore, d’augmenter le nombre de sponsors avec lesquels vous pouvez signer un contrat. Bref, on ne va pas tout énumérer mais sachez qu’il y en a un paquet… Evidemment, toutes les installations sont au rang E et peuvent monter jusqu’au rang A ce qui veut dire deux choses : cela va coûter cher et prendre du temps. Bonne ou mauvaise chose, à vous de voir, mais cela fait du bien à la durée de vie.
Effectivement, même si cette durée de vie se voit boostée par la quête d’obtenir les meilleures pièces pour vos voitures, toutes les installations au niveau max et tout le meilleur personnel possible, il faut avouer que côté véhicules à débloquer et courses à effectuer, on est plutôt bien servis. Il en va d’ailleurs de même pour les modes de jeu dont un bien spécial sur lequel nous reviendrons d’ici quelques paragraphes.
Pour faire de l’argent facilement, on trouve les épreuves de la carrière avec tout un tas de championnat vous proposant de montrer vos talents dans les quatre domaines proposés par DiRT 4 à savoir le rallye, le landrush, le rallycross et enfin le rallye historique… Et bien oui, ne l’oublions pas, DiRT 4 est le jeu officiel du FIA World Rallycross Championship.
Comme on le disait en début de test, ceux qui veulent du rallye exigeant trouveront probablement leur bonheur avec DiRT Rally. Néanmoins, ce DiRT 4 n’a pas à rougir et il offre d’excellentes sensations de vitesse et de conduite ! Du côté du landrush, la prise en main est assez compliquée au départ puis au fil des courses, on finit par bien maîtriser les véhicules ce qui donne un sentiment de satisfaction. Pour le rallycross, le gameplay est radicalement différent du rallye traditionnel et on peut sentir que les développeurs se sont beaucoup focalisés sur la discipline. En effet, Petter Solberg, le double champion de FIA World Rallycross, est passé par là et au final, le rendu est assez convaincant. Enfin, le rally historique a quant à lui son charme et les voitures de l’époque apportent leur touche au gameplay. Au final, le jeu est hybride et il faut avouer qu’il n’y a pas vraiment de domaine inférieur à un autre si ce n’est, comme on le disait, que les pilotes de rallye en herbe préféreront peut-être l’exigence du bon vieux DiRT Rally.
Quelques petites touches plutôt sympathiques ont été notées pour ma part pendant certaines courses comme l’apparition d’un drone, d’un hélicoptère ou encore, d’un concurrent qui a posé son triangle afin d’alerter qu’il avait eu un accident un peu plus bas et on peut effectivement le voir un peu plus loin avec son véhicule sur le côté. Le public semble également un peu plus vivant bien qu’il soit néanmoins toujours aussi statique.
Côté réalisme, on relèvera néanmoins des accidents complètement What the f*ck avec parfois plusieurs tonneaux dans tous les sens où l’on parvient finalement à repartir ou encore, il arrive parfois que le véhicule se mette sur le côté et que l’on parvienne à glisser sur 300 mètres avant que celui-ci se remette droit et que l’on reparte sur le droit chemin. Bref, au-delà de ça, les sensations de conduite et de vitesse sont au rendez-vous.
D’ailleurs, pour perfectionner votre conduite, vous pouvez compter sur l’académie DiRT et son terrain de jeu de 285 000 m². Ici, il est possible de s’amuser et s’entraîner librement dans la quête de la maîtrise parfaite des bolides du jeu ou alors, de suivre les leçons proposées afin d’apprendre et découvrir comment conduire au mieux les différents véhicules du jeu. Une option plus intéressante pour les amateurs du genre donc, tandis que les autres pourront, à la rigueur, faire un rapide tour du propriétaire. Rien d’incroyable puisque l’on s’ennuiera vite dans cette zone…
Heureusement, le mode viré, lui, propose une zone beaucoup plus sympathique pour se défouler mais il est clair que la visiter sans aucun objectif serait sans intérêt. Une série de défis est proposée ici en contre la montre et en destruction. Contre la montre réside dans le fait de ramasser un maximum de médailles bleues pour perdre des secondes tandis que destruction vous invite à détruire un certain nombre de médailles oranges dans un temps imparti. Dans les deux cas, les défis sont plutôt bien faits et intéressants à parcourir mais ce n’est certainement pas le mode le plus intéressant de ce DiRT 4 même si l’on trouve clairement du challenge avec notamment, le classement en ligne.
Je veux ma Spéciale
En effet, le mode novateur est celui dont la communication a beaucoup été effectuée autour du jeu… Il s’agit du mode Votre course. Ce mode permet de créer et sauvegarder ses propres championnats de rally cross, landrush, rallye classique et historique. Néanmoins, la feature la plus intéressante réside dans le fait que si les disciplines rally cross et landrush ne vous proposent que des circuits existants, vous pouvez générer votre propre série de spéciales en rallye classique et historique. En effet, vous pouvez ainsi sauvegarder des championnats uniques de rallye et créer des parcours générés aléatoirement. Le système est simple, vous pouvez sélectionner un degrés de complexité qui interviendra sur la quantité de dénivelé et technicité des virages tandis que l’onglet longueur gérera tout simplement la longueur du tracés.
Ensuite, il suffit de générer la spéciale et si le parcours qui sort vous plaît, il ne reste plus qu’à valider ou… à générer un autre parcours. Ainsi et pour exemple, les plus longs tracés nous donnent des résultats de plus de 13 kilomètres tandis que les plus courts font aux environs de deux kilomètres. Un mode qui permet donc d’avoir toujours de nouveaux tracés inédits et ce, dans n’importe quel pays disponible dans le jeu pour les épreuves de rallye. Un système vraiment intéressant en tout cas et sachez également que c’est votre écurie qui concourra sur ce mode. Ainsi, les sponsors fonctionnent et DiRT 4 calculera automatiquement la valeur de la somme d’argent remportée pour les trois premiers du championnat. Enfin, si générer vous même les spéciales vous ennuie, il est possible de tout faire aléatoirement.
Autrement et pour vous donner un ordre d’idée des possibilités de création de championnat, sachez que ceux-ci peuvent contenir jusqu’à six destinations avec au maximum douze spéciales dans chaque pays soit pour le rallye : l’Australie, l’Espagne, le Michigan, la Suède & le Pays de Galles…. Néanmoins, il est clair que côté contenu, on aurait aimé un peu plus de pays pour représenter le rallye. De quoi passer des jours et des nuits à essayer de remporter vos propres championnats. A noter que la récompense sera meilleure si vous utilisez un véhicule qui vous appartient plutôt que celui d’un sponsor et si le bonus de difficulté est élevé.
Pour finir, petite mise en garde pour ceux qui ont une connexion peu stable. En effet, DiRT 4 télécharge vos résultats à chaque fin de course et en cas de déconnexion pendant une course, vous remarquerez à la fin que l’écran de téléchargement apparaît et qu’il ne partira plus ce qui force à redémarrer le jeu… Pour ce qui est du multijoueur, le jeu n’étant pas sorti, nous n’avons pas pu testé toutes les fonctionnalités. Néanmoins, il propose, comme à son habitude, un classement avec un mode compétitif doté d’épreuves quotidiennes, hebdomadaires et mensuelles mais aussi, un mode multijoueur classique avec des courses en tête à tête et d’autres défis. Néanmoins, on note l’absence d’un mode multijoueur en écran scindé qui aurait été particulièrement sympathique pour le rallycross et le landrush… dommage.
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