Après une magnifique introduction comme on a l’habitude d’en voir chez Bandai Namco, nous arrivons au menu du jeu. Ce menu est , comment dire… très épuré puisqu’il ne contient que deux options « Jouer » et « Options ». Car oui, dans Dragon Ball Xenoverse, tout se fait désormais In Game ! Que ce soit l’histoire, l’exploration et les autres modes disponibles, tout ce sera directement dans le monde ouvert qu’offre le soft.
Cet opus vous propose de créer votre propre personnage de Dragon Ball en choisissant parmi plusieurs races telles que la race de Friezer, de Buu, un simple Namek, un Terrien ou encore un Sayan ! La personnalisation est simple mais suffisante : Après tout, il s’agit ici d’un jeu de baston, non ? Vêtements, coupe de cheveux, couleur des yeux, visage et quelques autres options vous seront proposées.
Une zone « multijoueur » solo ?
Nous y voilà, notre aventure a démarré et nous nous déplaçons librement à travers la zone où l’on peut croiser d’autres joueurs. Attendez, aurais-je dit « joueurs » ? Pardonnez-moi, je voulais dire « PNJ représentants d’autres joueurs ».Et oui car les autres joueurs sont représentés par des avatars statiques avec un nom d’une couleur différente des pnj classique, rien de plus. Vous pouvez saluer, dormir, faire des poses, montrer, crier, discuter mais personnes ne vous répondra ! Assez dommage, et on aurait voulu avoir d’avantage d’interactions avec nos fameux camarades joueurs rencontrés dans ce vaste monde.
Au niveau du gameplay, Dragon Ball Xenoverse n’offre ni plus ni moins qu’une pâle copie du précédent opus. Les anciens joueurs retrouveront toutes les bases avec peut-être, une légère nervosité supplémentaire pour les plus sensibles. Celui-ci n’étant pas mauvais, rien ne les obligeait à modifier quoique ce soit, au risque de proposer un gameplay moins bon. Seul les amateurs de nouveautés seront mécontents – et encore. La camera quant à elle, est toujours aussi mauvaise : les personnages se déplacent partout sans arrêt et les combos sont relativement limités.
Il n’y a donc rien d’incroyable dans cet opus ?
Détrompez-vous ! Les cinématiques ont été entièrement revues et on a désormais l’impression de regarder un vrai manga ! Un vrai de vrai ! L’histoire est toujours aussi fidèle à la saga qui se déroule désormais des débuts de Dragon Ball Z au dernier film d’Akira Toriyama, Battle of gods ! (Et oui, vous retrouverez cet espèce de lapin mauve géant). Et les musiques, vous y retrouvez toute cette nostalgie d’enfance lorsqu’on entend la célèbre musique « Cha-la head cha-la » interprété par Hironobu Kageyama !
Ah, j’oubliais un petit détail : il est également possible de sauter… Oui mais au-dessus de quoi ? Parce que j’ai beau chercher, la grande majorité des objets est infranchissable… sauf si vous faites le tour.
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