Dragon’s Dogma est un action-RPG réalisé et édité par Capcom en avril 2013, paru sur PC en 2016 avec une légère optimisation du moteur permettant de naviguer dans les contrées en 1080p et 60fps. C’est le 3 octobre 2017 qu’il s’installa sur nos PS4 et Xbox One avec un poids modeste de 17Go en dématérialisé sur nos consoles de dernière génération. Il s’agit bien de la version baptisée « Dark Arisen » qui inclut tout le contenu supplémentaire qu’offrait le DLC à l’époque PS360, autant vous dire que l’ajout est de taille tant le jeu se voit propulsé à de nouvelles sphères de possibilités d’amusements et de défis. Concrètement, DD:DA nous propose d’étendre la durée de vie du jeu original avec une immense nouvelle zone de jeu, de nouveaux ennemis ainsi que l’ajout de nombreuses quêtes pour ne citer que les bonus les plus évidents.
Pour être plus précis, l’attrait principal de la version DA est son monde souterrain et l’amélioration notable de l’expérience de jeu globale qui était déjà solide mais tout de même décelait quelques failles pernicieuses dans son système de progression. Le plus simple est de présenter sous forme de liste ce qu’apporte l’extension avant de s’atteler à l’identité propre de Dragon’s Dogma.
Au menu :
- 25 nouveaux ennemis
- plus d’armes et armures à équiper ainsi que des nouvelles améliorations pointent le bout de leur nez : comptez environs 100 nouveaux objets.
- DD:DA offre à chaque classe un nouveau palier de compétence ainsi que plus de talents et de capacités à combiner et maîtriser.
- 14 nouvelles améliorations de pions
- plus d’options de personnalisation du personnage
- l’option pour activer les voix japonaises du jeu
Autant dire que de longues heures d’aventure sont en perspective sur la génération actuelle. Pour les néophytes n’ayant pas eu l’occasion de goûter au Dragon’s Dogma originel, Dark Arisen propose tout de même de débuter l’histoire à son commencement avant de profiter du contenu additif. Quant aux vétérans ayant déjà connu DD, ils pourront se replonger dans l’univers si particulier afin de se rendre sur l’île maudite de Bitterblack (ou Récifs de l’Amertume pour nous Français) afin d’en découdre avec les infâmes ennemis infestant les dédales des royaumes souterrains ponctués de fabuleux trésors et rencontres létales. Le menu est irréprochablement alléchant ! Les personnages ont désormais la possibilité de repousser leurs limites grâce aux nouvelles mécaniques de jeu et équipements qui ne seront pas de trop pour repousser les viles créatures qui attendent dans l’ombre de DA.
Sommaire
ToggleUn nouveau DD:DA ?
La partie technique sera la première vitrine du jeu à son lancement sur PS4/XB1 et surtout le sort du remaster de Capcom dépendra de la réaction du public envers des graphismes qui héritent d’une architecture faiblarde sans véritablement passer par la case d’optimisation et d’un relooking conséquent pour sa nouvelle sortie. En effet, peu de choses sont à envier à la version PC qui elle-même était un simple portage rehaussé des versions PS360. Au vu des vidéos comparatives, visuellement le jeu n’est que très peu différent de sa version sortie en 2013 alors à quoi bon repasser par la caisse pour un jeu qui au final ne semble pas avoir évolué ou même s’être amélioré pour le confort de tous.
Ne passons pas par quatre chemins et passons plutôt au crible les tares que s’inculque la version PS4 (identique à la version XB1). Le plus notable durant les premiers pas dans l’univers de DD sera la qualité bas de gamme des textures environnementales qui sont simplement fades et sans âmes. Il est vraiment dommage ce manque de soin donné aux textures surtout sur des machines plus puissantes (j’inclus le PC pour l’occasion) pouvant afficher des résolution de 1080p et au-delà. La monotonie des textures et la palette chromatique peu variée souvent en rase-motte de couleurs dénaturées manquent de punch pour donner de la vie aux pixels qui ne demandent que ça, et plombent le jeu dès le contrôle de l’avatar. Incontestablement l’affichage plus puissant permet d’avoir l’impression de textures plus nourries mais ce n’est qu’un trompe l’œil qui donne place à une impression de travail bâclé. L’ambiance visuelle ternie par les nuances de gris caractéristiques du jeu fait redescendre toute excitation qui peut subsister à l’idée d’explorer les environs. Une exploration qui, elle aussi, aura son lot de ronces à traverser laissant filtrer la lumière du jour un gameplay qui vaut le détour mais nous n’y sommes pas encore.
Dragon’s Dogma est un jeu de la vieille école
Quel regret de ne pas retrouver le soin apporté dès le début de partie au reste de l’aventure. La mise en scène est digne d’une épopée de haute volée avec de la tension, des combats, un dragon, un scénario qui nous a déjà perdu… malgré un très bon ressenti d’emblée, des défauts viendront barrer la route à une progression fluide. Tel les quatre points cardinaux assurant l’équilibre des pôles, Dragon’s Dogma ne prend pas la peine de balayer totalement ses échecs après 5 ans d’existence.
- Défaut #1 : pas de voyage rapide efficace.
Les joueurs du style roleplay n’y verront aucun inconvénient que d’arpenter les plaines à pied, de jour et de nuit retraversant assez souvent les mêmes lieux sans rien venant chambouler les chemins de terres battues. Ce n’est pas pour déplaire à ceux qui se retrouveront face à un univers proche en taille à celui d’un Skyrim par exemple, il vaut mieux s’assurer d’implémenter un système de locomotion facile d’utilisation efficace sans instaurer une lassitude à traverser à tort et à travers les mêmes localités. Ici nous sommes loin d’un environnement aussi riche et dense qu’un The Witcher 3. Les plaines et vallées sont pauvrement peuplées et ne permettent pas au joueur d’être surpris ou d’éprouver un sentiment de découverte au fil de son exploration, qui devient par la même occasion sans intérêt et répétitive. Vêtir son personnage d’une tunique verte et parler à une fée fictive ne changera pas le fait qu’il ne se passe pas grand chose dans la partie « monde ouvert » du jeu. Condamné à des vas et vient incessants entre les points d’intérêts, les quelques combats le long du chemin deviennent prévisibles car les ennemis réapparaissent exactement aux mêmes endroits, aux mêmes heures et disposés de la même façon. De longs parcours à voir l’avatar se trémousser pour atteindre son point de destination, les mêmes ennemis à abattre à l’aller et au retour, les mêmes actions à refaire sur le chemin : à se demander où se trouve véritablement l’amusement dans cette formule qui date d’une autre ère. Cependant, les développeurs auront écouté les joueurs de la première heure et viennent nous bénir tout de même d’un objet permettant de rejoindre les points d’intérêts ou un point précis sur la carte si un cristal de téléportation aura été installé préalablement et ceci : à l’infini. Une vraie bénédiction qui aurait pu être plus flexible mais qui émancipe de longues sessions de jeu où il ne se passe rien, mais vraiment rien !
- Douloureuse #2 : l’intelligence artificielle des Pions
Pour ceux qui ne seraient pas au courant, très tôt dans le jeu, des compagnons de route suivront l’avatar sans réel autre but dans la vie que celui de vous servir vous : l’Insurgé. Si effectivement on a droit à un compagnon personnalisable (appelé Pion…) servant aussi de mule pour porter vos objets les plus lourds, deux autres compagnons pourront faire partie de la troupe durant le voyage générés aléatoirement par le jeu ou créés par un autre joueur. A vous de choisir qui vous accompagnera selon les besoins. Le système de Pions est réellement ingénieux sur le papier : vos Pions pourront apporter un soutien face au danger que seul il serait impossible de survivre. Dommage que leurs réactions face aux ennemis sublimeront leur statut de pions … sans oublier leurs interventions vocales exacerbantes durant les combats, ils ne se taisent donc jamais ! Les développeurs auront voulu rendre ces Pions plus vivants leur prêtant des voix et des informations à partager mais le résultat est juste très énervant sur le long terme et le premier conseil d’Insurgé vétéran à Insurgé novice que je peux vous donner c’est d’immédiatement désactiver d’une part le prompteur des voix qui polluera l’espace de jeu rendant difficile la lecture des combats, d’autre part de demander à son Pion de se taire (oui oui !) à l’auberge autour d’une table.
Nous sommes face à la mécanique la plus étrange de l’aventure que celle d’avoir des Pions comme compagnons plutôt que de saigner l’aventure accompagné de vrais joueurs. En effet, on peut aisément entrevoir un système multijoueur en invoquant des amis pour sillonner les routes de DD et potentiellement accorder une dimension plus humaine à l’aventure rien que par la possibilité d’interagir vocalement avec ses compagnons de route au micro. Pour une raison Capcomienne, nous n’auront pas droit à ce genre de bénédiction dans ce titre, espérons tout de même que les réclamations atteindront une oreille attentive à l’aube d’un possible Dragon’s Dogma 2. Mais je m’avance trop, revenons à nos moutons.
Le danger que l’on pressent, mais que l’on ne voit pas, est celui qui trouble le plus
- Tare #3 : la trame principale et les quêtes bancales
Un action-RPG qui voit son fil scénaristique s’amincir tout au long des heures de jeu est sans doute problématique et de mauvaise augure tant il est supposé maintenir en éveil l’intérêt du joueur aux événements sordides qu’accablent l’Insurgé, outre la triste mécanique redondante des allers-retours. Rien n’est toutefois perdu, le scénario trouve quelques originalités : comme se faire voler son cœur par un dragon et pouvoir tout de même rester en vie pour une raison inconnue par exemple. Autrement dit, il est difficile de différencier la quête principale des quêtes secondaires. L’histoire principale est si peu marquante, qu’on se retrouve face à un melting pot d’idées et à nous de faire le tri dans le journal de suivi. Encore une fois : quel contraste avec l’introduction !
- Ignominie #4 : la sauvegarde solo
Pour un jeu qui souhaite pousser le joueur vers l’expérimentation au vu des nombreuses possibilités qu’offre DD:DA ainsi que de nombreux essais pour parvenir à un groupe équilibré, il est tout de même surprenant d’avoir cette volonté de confiner la liberté du joueur à créer son expérience comme il la souhaite afin de vaincre les nombreux périls qui sillonnent les routes. Réellement inadmissible.
Que dire également de la modélisation des personnages joueurs et non joueurs qui est restée tout somme fait très proche de la version parue en 2013, avec certes, des textures plus fines grâce à la résolution rehaussée tout comme les environnements au final. Le jeu héritier des faiblesses techniques de ses origines fait pâle figure face aux productions récentes : plus optimisées tirant parti de la puissance de calcul et des nouvelles technologies d’affichage. Nous passerons le sujet du lipsynch abominable digne des premières productions des jeux en 3D…
La catastrophe vidéoludique en quelque sorte ?
Si après le parcours du combattant décrit auparavant la manette réside toujours dans les mains : c’est parce que l’Insurgé aura goûté au nectar des affrontements proposé dans DD:DA. Beaucoup de similitudes surviennent durant l’aventure à des jeux de renommée appartenant à différents genres. Capcom n’aura pas chômé en matériel d’inspiration : un mix savamment dosé est proposé dans DD:DA avec du Shadow of the Colossus, Monster Hunter, Devil May Cry et un soupçon de Dark Souls au menu. La barre est placée bien haut pour réussir à condenser autant de bons concepts en un seul titre.
Capcom aura réussi son pari, en partie, si l’on se réfère au pavé de défauts listés juste avant ce paragraphe, ça aurait été trop beau d’espérer en un remake que le remaster qui nous est servi. Cependant, c’est aussi ce qui fait la force de DD:DA car oui, tout n’est pas défaut au contraire, aucun action-RPG ne ressemble véritablement à Dragon’s Dogma. Les combats contre les boss sauront marquer d’une pierre l’événement qui se déroule à l’écran tant l’intensité des affrontements feront battre le cœur à rythme effréné surtout aux derniers points de vie lorsque le boss tente le tout pour le tout répandant sa frénésie sur le champs de bataille.
L’inspiration à Shadow of the Colossus est pour le moins évidente, ce qui emmène les confrontations à une dimension assez tendue où l’erreur n’aura pas sa place sous peine de passer l’arme à gauche par manque d’anticipation. Escalader des colosses n’aura jamais été aussi stressant et balayer les maudits QTE à ce genre de situation aura été une des meilleures solutions pour rendre le moment épique. Les affrontements sont jouissifs, la sensation de danger est bien retranscrite provenant des animations des adversaires belliqueux et le tout est sacrément dynamique à la Devil May Cry, il ne faudra pas oublier de constamment changer de position sous peine d’être une cible facile à atteindre et attendre les failles dans la garde de l’adversaire pour suriner leur barre de vie avec des attaques bien placées. L’aspect stratégique est plus mis en avant que les RPG classiques qui, bien souvent, se contentent de taillader les orteils des ennemis d’une force hors du commun pour les occire d’une manucure brutale.
La force de Dragon’s Dogma : Dark Arisen réside dans l’équilibre du groupe constitué par vos soins
En effet, les dégâts sont localisés et pourront apporter un avantage certain en situation difficile. C’est ici que réside le cœur du jeu dans son système de classes fantastiques ouvrant un panel de possibilités bien variées. Les éléments et mécaniques RPG très poussées imposent le respect devant tant de générosité et la palette de compétences est impressionnante face à l’ampleur qu’offre la liberté de personnalisation pour bâtir son propre guerrier qui correspondra parfaitement au style de jeu de chacun. À savoir qu’il est aussi possible de changer de classe à tout moment dans le jeu à condition de faire ça à l’auberge car les maîtres d’armes semblent faire grève.
Bien souvent, l’ennemi ne tombera pas si l’on fonce tête baissée dans la mêlée, comprendre ses propres compétences et objets à disposition sera essentiel pour être créatif et venir à bout des obstacles qui s’érigent sur le passage. À cela s’ajoutent des petits détails liés aux systèmes de dynamiques discrets et de l’intelligence artificielle (oui car parfois elle a quand même de bons réflexes) qui vient contenir l’ennemi en le clouant au sol pour les dessouder avec plus d’aisance, ou bien jouer de la gravité pour accumuler de l’expérience suite à une chute mortelle malencontreuse d’un ennemi d’une falaise bien haute.
De plus, avoir les vêtements mouillés ou imbibés d’autres substances combinés à certains objets peut résulter à des effets surprenants donnant un petit bonus au déroulement du combat. En ce qui concerne la mêlée, l’avatar pourra utiliser une attaque simple ou secondaire plus puissante combinée aux touches L1 ou R1 pour dévoiler des compétences létales pour ceux qui oseraient s’opposer à l’Insurgé. Cette combinaison de touches dévoile un gameplay sans cesse renouvelé révélant des opportunités et stratégies que bien nombre de RPG effleurent sans pourtant parvenir à servir sans écueils.
La difficulté ressentie lors des affrontements contre plusieurs adversaires ou des monstres plus costauds (voire les deux en même temps !) rend la victoire tout aussi satisfaisante que la concentration mise en oeuvre et le doigté à jongler entre l’attaque et la défense (fuites stratégiques…) afin de savourer le répit qu’offre le dernier ennemi vaincu. Attention tout de même aux déplacements assez capricieux surtout en mode sprint, un temps d’adaptation est à considérer car c’est le genre de course à défier toute loi physique d’un objet en mouvement. Le plus tragique sera dans les couloirs ornés de babioles en tout genre faisant dévier l’avatar de sa course vers l’inéluctable crevasse ou le pan de mur. Bon certes les conflits ne seront pas à l’abri de quelques petits défauts de collision qui viennent rajouter une touche d’humour non voulue à l’apogée de vos prestations de combattant mais resteront néanmoins gravés dans la mémoire de nos Pions. La météo dynamique (hum…) viendra changer les rencontres possibles apportant un peu de variété dont le jeu manque cruellement.
Île était une fois…
Le contenu supplémentaire offert par DA s’adresse principalement aux joueurs de haut niveau qui auront déjà bouclé le scénario principal. Le Récif de l’Amertume apparaît comme nouvelle île disponible depuis Cassardis en discutant avec le PNJ Olra. Le donjon est tout simplement gigantesque avec de nombreux dédales à s’y perdre. Cela vient avec de nombreuses quêtes secondaires pour rallonger la durée déjà assez conséquente du jeu original. Soyez prévenu qu’il faudra être sacrément préparé avant de poser pied sur l’île vu les ennemis présents qui ont du répondant et peuvent même mettre à mal un personnage de niveau 100 sans trop d’effort, de quoi frustrer à plusieurs reprises durant le parcours dans les dédales tortueux de ce nouveaux donjon. La difficulté s’accentue crescendo durant tout le cheminement à sa conclusion. Les combats bien nerveux qui ont hissé la licence Dragon’s Dogma à sa renommée actuelle sont de la partie et ne décevront pas les puristes du genre qui l’attendent au tournant. Sans pour autant spoiler les rencontres mémorables qui attendent les plus téméraires, le bestiaire ajouté à DD ressemble à un vrai défi que de maîtriser l’art de l’affrontement rocambolesque ainsi que la gestion du positionnement des combats dynamiques si bien connus des aficionados. L’action de fuir ou trouver une cachette in extremis sont des stratégies tout à fait viables dans cette nouvelle zone de jeu qui vous sauveront la vie plus d’une fois mais attention à tourner le dos à l’ennemi car certains sauront profiter de ce moment de détresse pour ratiboiser la barre de vie d’un seul coup !
Le point noir dont souffre DD:DA sera toujours la difficulté de l’IA à sortir du lot. Si les ennemis ne sont pas vraiment les plus malins à gérer, leur “pathfinding” tournant le combat au délire à l’incompréhension la plus totale, les Pions également sont accablés d’une IA plus que médiocre quant à leur choix d’action et pourtant l’Insurgé devra compter sur les compétences exceptionnelles de ses compagnons pour venir à bout d’un donjon d’une noirceur palpable. Les nouveaux équipements et compétences sont là aussi pour donner un avantage au cheminement vers vil destin.
Dragon’s Dogma : Dark Arisen est à mi chemin entre le jeu marquant sa génération et un jeu raté. Il embellit très bien ses objectifs comme rendre mémorables ses affrontements, la totale liberté de la personnalisation de son Insurgé ou encore le choix de ses coéquipiers. Au final l’équipe de Capcom n’aura pas su insuffler son scénario de moments mémorables ni à rendre l’expérience plus vivante à cause d’un univers trop mécanique et impersonnel. L’exploration elle-même se voit sclérosée de tels défauts qui empiètent à l’éclosion totale de Dragon’s Dogma. Fort heureusement, le défi proposé à l’encontre d’adversaires qui ne font pas dans la dentelle sauront maintenir l’attention à ce qui se déroule à l’écran, le système de personnalisation sauve les meubles par la même occasion plongeant le joueur dans une histoire oubliable au gameplay bien soigné. Le Blu-Ray entre deux chaises, la version PS4/XB1 saura retenir l’attention des néophytes de la licence tant qu’ils passeront outre le chemin de ronces dont Dragon’s Dogma : Dark Arisen se traîne depuis 2013.
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