Attendu depuis des années, il est enfin là. Disponible sur Wii U et Switch ce 3 mars, The Legend of Zelda: Breath of the Wild est indéniablement un argument de vente pour cette dernière. Mais après tant d’attente, que vaut-il ? Va-t-il nous transporter au-delà de tout ce que l’on a déjà connu ?
Avant toute chose, sachez que la majorité du test a été réalisé sur Switch. De plus, nous avons pris soin de n’aborder que très rapidement la partie scénaristique pour vous garantir aucun spoil. Bonne lecture !
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ToggleThe Legend of Zelda Breath of the Wild, un voyage émotionnel
Après avoir découvert tranquillement la Nintendo Switch, nous nous sommes lancés à corps perdu sur The Legend of Zelda Breath of the Wild, incontestablement le jeu de lancement le plus important et l’argument de vente du constructeur japonais pour sa nouvelle machine. Le soft est également disponible sur Wii U mais ne l’ayant que brièvement parcouru, nous reviendrons sur cette mouture un peu plus tard dans notre test pour vous expliquer notre ressenti sur celle-ci.
Notre aventure démarre lorsque Link se réveille dans une grotte après une sieste de plus de 100 ans, une scène que l’on a déjà vu maintes fois depuis l’E3 2016 à travers les diverses bandes annonces. Une voix mystérieuse et féminine vous réveille avec un simple « Réveille-toi… Ouvre les yeux ». Votre héros se lève donc, juste muni d’un pagne pour couvrir une partie de son corps et l’on se retrouve sans aucune information sur ce qui nous attend. Précisons au passage que ce nouvel opus intègre pour la première fois des voix françaises avec des doublures totalement traduites. Les sous-titres le sont aussi bien évidemment et l’on regrette juste l’absence de possibilité de switcher – sans mauvais jeu de mot – entre la VF et la VO.
On avance ainsi dans le plus grand mystère avant de dénicher une fameuse tablette Sheikah qui sera un élément essentiel de notre aventure. Puis, après deux coups de pied sur des coffres, on s’habille d’un vieux pantalon et d’une vieille chemise et l’on sort de la grotte. Et là, c’est la découverte du monde qui nous attend, grand et vaste à souhait. Très rapidement, on a une sensation de liberté incroyable, couplée à un brin de nostalgie lorsque l’on remarque que c’est reparti pour une aventure aux côtés de Link.
Cette épopée auprès de notre jeune aventurier est une véritable claque sensorielle. C’est une invitation au voyage émotionnel et à la nostalgie des anciens épisodes. Bien sûr, cela fait longtemps que l’on attendait ce nouvel opus et cela joue forcément beaucoup sur nos émotions mais les développeurs savent comment titiller nos sentiments. Une musique enivrante, une ouverture de coffre avec un certain son qui nous rappelle de mielleux souvenirs et un travelling arrière de la caméra lorsque l’on sort de la grotte suffisent pour nous émerveiller.
Une claque mémorable
Après être sorti de cette fameuse grotte, on se retrouve complètement perdu dans ce nouveau monde. Nous ne savons rien de la période dans laquelle nous sommes plongés et n’avons aucun élément concernant l’intrigue principale. Tout sera dévoilé au fur et à mesure que vous progresserez dans l’aventure. C’est d’ailleurs un élément important qu’il faut prendre en compte : Zelda Breath of the Wild vous lâche complètement dans la nature.
Bien évidemment, la trame scénaristique se dévoile petit à petit et vous apprendrez les mécaniques de gameplay à force de découvrir de nouvelles options mais il n’y a pas de véritable premier chapitre qui vous apprend tout sur tout. Non. L’histoire s’apprend au fur et à mesure que vous progressez. D’ailleurs, vous ne connaîtrez le contexte historique qu’une fois le premier plateau achevé. On évitera d’aborder l’aspect scénaristique pour échapper à tout éventuel spoiler et l’on préfère vous laisser le plaisir de la découverte.
Cette progression bien dosée est clairement motivante. On a envie d’en savoir plus, de connaître le fin mot de l’histoire et il est difficile d’échapper au souhait d’en apprendre davantage sur le background du titre. C’est la même chose concernant l’apprentissage de nouvelles compétences et la trouvaille de nouveaux équipements. On reviendra bien évidemment sur ces points un peu plus tard, mais vous remarquerez bien assez vite qu’être bien préparé au combat est un atout de taille.
Nous n’avons pas peur de le dire : Il s’agit ici très probablement d’un des épisodes les plus durs de la franchise. Et pour cause, la difficulté nous a semblés bien plus élevée qu’auparavant. Attention néanmoins, il faut relativiser le contexte et n’oublions pas que la série est loin d’être l’une des licences les plus compliquées. Si certains opus proposaient un gameplay un peu plus dur à prendre en main ou des énigmes quelque peu plus retors que d’autres, The Legend of Zelda Breath of the Wild est quelque peu au dessus.
Nous avons constaté que plusieurs éléments nous paraissaient moins faciles d’approche, notamment pour les néophytes de la franchise. Le fait que vous soyez lâchés en plein monde ouvert est bien évidemment l’une des principales raisons mais vous devrez parfois mourir et réessayer à plusieurs reprises pour parfois bien comprendre ce qu’il faut faire. A vous d’explorer les différents recoins pour faire la rencontre de certaines créatures dont on ne sait rien dessus. Si certains sont faciles à tuer, d’autres n’hésiteront pas à vous tuer en un coup. En bref, si l’on est loin d’un titre très complexe à la difficulté qui pourrait rebuter certains, cet épisode reste néanmoins l’un des opus les plus difficiles de toute la série. Cela plaira sans doute à bon nombre de joueurs qui voulaient un peu plus de défis.
Le cheval, c’est trop génial !
Le premier plateau que l’on pourra parcourir sert plus ou moins de chapitre introductif au jeu. On aura l’occasion d’y découvrir quelques ennemis avec plusieurs environnements, comme une petite forêt, un paysage alpin et j’en passe. Celui-ci sert véritablement de mise en bouche et il est bon de noter que Nintendo a su très bien gérer sa communication puisque finalement, c’est majoritairement autour de ce secteur que toutes les présentations se sont faites. Ainsi, il restera encore beaucoup à découvrir, et c’est une véritable surprise.
The Legend of Zelda Breath of the Wild intègre deux nouveaux éléments qu’il faudra surveiller assez fréquemment à travers des jauges. La première est la notion de température. Dépendamment de là où vous vous trouverez, Link peut avoir chaud ou froid, et en fonction de sa résistance, il est plus que probable que vous perdiez de la vie. Si par exemple, vous tombez dans une rivière en montagne, vous pouvez mourir instantanément. Parcourir les premiers pics neigeux vous fera perdre des cœurs à intervalle régulier et vous n’aurez que deux options pour contrer ce problème en début de partie : Soit prévoir assez de nourriture pour survivre et se restaurer régulièrement, soit porter une torche pour vous réchauffer et donc, garder une température convenable.
A contrario, le feu peut vous brûler et causer une altération d’état. Les camps ennemis ou l’utilisation d’un silex vous permet d’allumer une torche et vous pouvez ainsi vous en servir pour éclairer des endroits sombres ou vous garder au chaud. Mais c’est à utiliser intelligemment : se mettre à courir, attaquer une cible ou se défendre éteint immédiatement la torche et vous devrez faire face au froid si vous êtes placés là où il ne faut pas.
A vrai dire, ces mécaniques de chaleur ne sont pas étouffantes dans le jeu. Elles sont régulièrement mises en avant sans pour autant être trop accaparantes. Cela permet ainsi de rajouter quelques aléas dans les énigmes et de vous faire réfléchir avant de grimper les sommets enneigés. Mais cela en reste là. C’est ni plus ni moins ce que l’on pouvait attendre de ces quelques ajouts supplémentaires.
La seconde jauge est la présence d’un capteur de bruit. Situé également en bas à droite de votre écran, cette indicateur vous permet de savoir le bruit que vous générez. En fonction de vos déplacements, vous risquez ainsi d’avertir les ennemis aux alentours. Si vous courez, Link fera beaucoup de bruit, tandis que s’il s’agenouille et avance lentement, vous avez une chance de surprendre vos adversaires. C’est encore une fois une composante supplémentaire qui n’est pas omniprésente mais qui permet de rajouter quelques mécaniques d’infiltration bienvenues. Arriver dans le dos de vos assaillants permettra parfois d’avoir un avantage certain. De plus, il serait futile de vous dire que d’abattre quelques adversaires avant de vous en prendre au chef/boss n’est pas à exclure pour la réussite de votre assaut. Cet aspect infiltration est bien construit et cela permet entre autre d’approcher des ennemis pour leur tirer une flèche à l’aide de votre arc pour en prendre l’ascendant.
Tellement de choses à faire et à apprendre…
S’il y a bien quelque chose que l’on ne peut pas reprocher à The Legend of Zelda Breath of the Wild, c’est bien évidemment son contenu gargantuesque. Outre sa durée de vie plus que convenable, on souligne bien sûr la foulitude de choses à faire. Monde ouvert oblige, vous aurez des tonnes de choses à faire et l’équipe de Eiji Aonuma a très bien compris comment le combler d’activités. Le seul point qui nous a quelque peu chagrinés au début de notre aventure, c’est le côté vaste et vide.
Les premières heures passées sur le premier plateau et un peu plus loin donnent une sensation désertique, dépourvue de véritables éléments à parcourir. Parce que finalement, si l’on fait fi du côté nostalgique et découverte de ce tout nouveau monde, ces lieux inhabités mettent quelque peu du temps à être parcourus. On va ainsi de sanctuaire en sanctuaire, et l’on apprend quelque chose sur l’histoire. Puis, après avoir passé plusieurs longues minutes à simplement marcher, on arrive sur un nouveau spot de monstres. Et c’est à peu près tout.
A vrai dire, cette sensation de vide n’est pas très prononcée et il faut bien lui trouver un semblant de défaut à ce Zelda, tant il reste incroyablement prenant. Très vite, on pourra apprivoiser un cheval, permettant de gambader dans les vastes landes du soft et ainsi aller plus vite. On aura également la possibilité d’utiliser un paravoile qui permettra à Link de planer dans les airs sur de longues distances, similaire au parachâle dans Skyward Sword. On le recevra notamment très tôt dans l’aventure après avoir bouclé les premiers sanctuaires. De plus, une fonctionnalité de voyage rapide est également disponible. Vous pourrez ainsi traverser la map grâce à votre tablette Sheikah en choisissant un sanctuaire déjà visité et vous téléportez facilement de bout en bout.
Toujours en restant dans le domaine de l’exploration, Link pourra pour le coup escalader des falaises. Quasiment toutes les parois pourront être abordées et vous pouvez ainsi grimper les plus hauts sommets juste à l’aide de vos bras. Attention cependant, le tout est régi à votre endurance et il est impératif de bien doser votre force et d’estimer ce qu’il y a à monter au risque de lâcher prise et de dégoter un game over une fois à terre. La plupart des grandes montagnes disposent de petites plateformes intermédiaires et ce sera à vous de bien juger tout cela.
On notera également la présence d’une météo dynamique qui varie assez régulièrement. Il n’est pas rare de passer à un grand soleil à une pluie orageux qui vous octroiera une bien plus mauvaise visibilité. L’utilisation du vent avec la paravoile est également quelque chose d’intelligent puisque vous pourrez aller plus vite en allant dans le sens de celui-ci. Un cycle jour/nuit est aussi de la partie avec les horaires indiquées à côté de vos autres jauges. Outre l’aspect visuel, certains monstres n’apparaissent que la nuit et il faudra parfois attendre, à côté d’un bon feu de camp, quelques heures durant pour arriver à la bonne heure de la journée.
L’exploration a vraiment ce petit quelque chose d’intense sur The Legend of Zelda Breath of the Wild. La possibilité de grimper les montagnes ajoute une verticalité bienvenue et l’on peut ainsi contempler les environnements en haut d’une falaise. Qu’il est jouissif d’avoir cette sensation de liberté totale et de pouvoir s’arrêter quelques temps en hauteur pour profiter du paysage.
Il n’est pas rare que l’on fasse une pause dans nos quêtes pour s’exprimer sur la beauté des paysages avant de faire une halte dans un poste de gobelin avant de ramasser champignons, pommes et autres glands dans les forêts. L’exploration a presque de petit quelque chose de gratifiant puisque l’on retrouvera toujours quelque chose à ramasser ou à contempler. Le cachet artistique est une nouvelle fois parfaitement maîtrisé et c’est une véritable claque visuelle.
Aux armes Link !
Bien sûr, au tournant de votre exploration, vous aurez de nombreuses opportunités de vous battre. Riche d’un bestiaire assez conséquent, le soft dispose de mécaniques de gameplay bien rodées. On ressent ici les bases d’un jeu de son genre et elles sont parfaitement maîtrisées. Il vous suffira de marteler votre touche d’action pour asséner un coup à votre adversaire mais les subtilités ne s’arrêtent pas là et c’est là que la pléthore d’armes rentre en jeu.
The Legend of Zelda Breath of the Wild propose un arsenal assez conséquent avec en premier lieu, la possibilité d’utiliser un arc. C’est même très clairement ce que l’on a le plus apprécié à la rédaction : la possibilité de décocher une flèche et de la planter entre les deux yeux de notre adversaire. Il vous suffit de viser et de tirer. Vous aurez bien sûr un bonus si vous touchez l’ennemi en pleine tête et cela pourrait vous garantir une élimination en un seul coup. Des flèches de plusieurs types seront à collecter et permettront d’obtenir une altération ou un bonus supplémentaire, comme des flèches de feu ou de glace.
Les différences entre les armes ne se limitent pas qu’à l’aspect cosmétique. Bien sûr, elles disposent toutes d’un critère de puissance basée sur sa puissance indiquée par un icône et un chiffre, mais elles ont également des particularités lorsque vous les utilisez. Par exemple, certaines armes plus légères vous permettront d’attaquer de manière plus rapide tandis que de grosses massues taperont plus fort mais moins vite. De plus, pour chaque type d’armes, les animations sont différentes et ne correspondront pas forcément à vos attentes. Un javelot pourra taper plusieurs fois d’affilée en un laps de temps très réduit mais n’occasionneront pas énormément de dégâts. Votre armement se compose aussi d’un bouclier. Très important au combat, ce dernier vous permettra de bloquer ou de contenir une attaque et sauver une partie de votre vie.
Les possibilités sont donc assez nombreuses et l’on se retrouve avec beaucoup d’armes en main. Que ce soit l’épée de chevalier, un râteau trouvé dans une grange ou une branche d’arbre trouvé par terre en dépit d’avoir autre chose, l’arsenal est vraiment conséquent. Certaines armes seront également plus propices à certaines actions que d’autres. La hache de bûcheron par exemple, pourra servir à couper un arbre en deux coups alors que les autres mettront plus de temps. Un bout de bois permettra d’allumer une torche, chose que vous aurez du mal à faire avec une épée je pense…
Dernier élément à savoir sur votre équipement, c’est que celui-ci ne dure pas éternellement. Après avoir tapé plusieurs fois avec votre arme, celle-ci se brise et elle est donc perdue à tout jamais. Un message d’alerte vous fera signe quelques temps après sa fragilisation et vous devrez être prêt à changer d’armes si vous êtes en combat. Une attaque un peu particulière est intéressante dans ce cas là : il est possible de balancer ce que vous avez en main, un peu comme un lancer de javelot. Selon votre précision, votre distance et la nature de votre arme, cela peut causer d’énormes dégâts où la contrepartie est la destruction immédiate de cette dernière.
Link disposera également de certains pouvoirs, appelés modules. On les découvre en terminant les tout premiers sanctuaires, bien que le dernier module ne s’obtiendra que plus tard dans l’aventure. Ces pouvoirs, octroyés par la tablette Sheikah encore une fois, permettront d’apprendre des compétences supplémentaires. L’une vous permettra de créer de la glace à partir d’eau tandis qu’un autre peut arrêter le processus de certains mécanismes en stoppant le temps quelques instants. Hormis la bombe, la plupart de ces pouvoirs ne servent finalement qu’à résoudre les énigmes auxquelles vous serez confrontés.
Je vais peut-être insisté sur ce point là, mais ce Zelda Breath of the Wild est bien équilibré. Que ce soit pour la difficulté croissante, la narration progressive, la température et les nouveautés, les modules et bien d’autres aspects du titre, tout est parfaitement maîtrisé. On profite des quelques subtilités introduites sans pour autant en avoir trop. Tout est bien dosé et finalement, même cette sensation de vide sous-entendu en début de test est bien rôdée. Les vastes landes sont suffisamment grandes pour donner une impression d’immensité et juste avant que le joueur se dise « Ah, ça paraît presque vide », et bien l’on y découvre quelque chose de vraiment palpitant.
La technique, seul bât qui blesse ?
Concernant sur la version Wii U : Cette dernière est clairement très en deçà de ce que l’on pouvait attendre. Après l’avoir testée quelques heures, on ressent qu’elle est quelque peu en retard sur la mouture Switch. Aliasing fort présent, chute de framerate dans les zones peuplées ou lorsqu’il y a de nombreuses explosions à l’écran, elle est techniquement plus que perfectible. Les temps de chargement, comme le retour menu, sont bien plus importants. De plus, la possibilité d’afficher le jeu sur les deux écrans n’existe plus. Zelda Breath of the Wild avait présenté le gamepad comme étant un second écran, permettant d’afficher par exemple, la carte du jeu. Ceci n’est plus d’actualité et pour cause : Nintendo a souhaité faire en sorte que les versions Switch et Wii U disposent des mêmes dispositions, ce qui n’est pas au goût de tous. Visuellement parlant, cela n’a pas le même charme mais n’est pas déplaisant pour autant. On regrette juste – et principalement, cette technique pas loin d’être à la ramasse sur la Wii U. Très clairement, Big N a souhaité mettre en avant la Switch et s’est sans aucun doute focalisé sur cette dernière depuis son annonce et c’est regrettable.
C’est peut-être l’un des seuls points faibles du titre : son aspect technique. Loin de là l’envie de caractériser un jeu juste parce qu’il est techniquement perfectible, c’est tout de même assez important de le souligner. Malgré qu’il soit le titre majeur du lancement de la Switch, The Legend of Zelda Breath of the Wild est loin d’apporter une stabilité parfaite à la machine et a clairement du mal à la mettre en avant.
Certes, on le sait que trop bien, il ne faut surtout pas juger un jeu à la hauteur de ses graphismes et encore moins le caractériser au lancement d’une nouvelle console, mais il est important de le souligner. Quelques chutes de FPS sont présentes et il n’est pas rare d’avoir des légers soucis d’affichage. Bien sûr, la mouture Switch reste plus que correcte mais comme vous pouvez le remarquer, le ressenti n’est pas le même pour la version Wii U. Cela est limite déplorable et la celle-ci n’avait pas à connaître un pareil downgrade. Les joueurs Wii U se sentiront lésés et il y a de quoi.
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Enfin, dernier point à aborder que certains aimeraient savoir : sachez que vous aurez la possibilité de faire plusieurs sauvegardes. Il n’est donc pas impossible de créer plusieurs parties et de choisir celle souhaitée au lancement du titre. De plus, sachez que sur Switch en tout cas, la console sauvegarde automatiquement, même si vous n’avez plus de batterie. Cela vous permet de reprendre précisément là où vous avez arrêté votre partie sans perdre la moindre trace de votre progression. Une sauvegarde manuelle est également présente et peut-être utilisée, voire même abusée comme bon vous semble.
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