Disponible en Europe depuis le 21 Octobre dernier sur PlayStation 4, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs est une sorte de version améliorée de Tokyo Twilight Ghost Hunters. En comparaison à l’épisode initial, il faut avouer qu’avec tous les changements apportés, on pourrait presque considérer Daybreak Special Gigs comme une sorte de reboot et de ce fait, on préfère carrément vous refaire un test complet en bonne et due forme.
Néanmoins, si vous le désirez, vous pouvez toujours lire le test de Tokyo Twilight Ghost Hunters sur PS3 et PS Vita à cette adresse afin de vous rendre un peu mieux compte des énormes changements apportés. Car oui, le soft a été complètement revu et ce que l’on espère, c’est qu’il ne fera pas un retour fantomatique aux yeux des joueurs et on espère très franchement que ceux qui ont été allergiques à la version d’origine sauront lui donner une nouvelle chance.
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Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs raconte toujours la même histoire que le jeu d’origine et on vous parlera en détail de ce que la nouvelle édition apporte. Mais pour le moment, on va se consacrer sur le point fort du jeu : son histoire.
Vous incarnez donc un jeune lycéen portant le nom de Ryusuke – nom par défaut qui reste modifiable – qui vient d’être transféré à l’Académie Kurenai Academy de Shinjuku. Vous découvrirez peu à peu différents personnages et des éléments surnaturels se dérouleront avec, vous l’avez compris, des fantômes. En effet, vous allez finir par rejoindre une société appelée les Gates Keepers et si le jour, il s’agit d’un magazine traitant de l’occulte, dans l’ombre, la fine équipe part à la chasse aux fantômes afin de les exorciser.
En effet, les fantômes sont le cœur de l’intrigue. La narration est dotée de très nombreuses références en tout genre, de beaucoup de réflexions philosophiques et au final, sous ces airs de visual novel regorgeant de scènes de dialogues, on finit subjugués par le charme de cette histoire qui saura, tout au long de l’aventure, nous surprendre. De plus, après avoir fini le jeu une première fois pour mon test du Tokyo Twilight d’origine, cette seconde revisite de l’univers de Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs m’a une nouvelle fois complètement charmé.
On retrouve donc la grosse flopée de personnages qui sont dotés de caractères bien différents et d’un chara-design qui ne laisse clairement pas indifférent. Il est vrai que certains tempéraments sont assez stéréotypés à l’image de l’Otaku Moichi Sengen ou encore, du coureur de jupon blondinet Yuki Shiramine. Bref, l’histoire de chacun est d’une grande profondeur et le soft utilise la technologie GHOST : Graphic Horizontal Object Streaming qui permet aux artworks, et plus précisément aux personnages de prendre littéralement vie. En effet, ces derniers sont dotés d’animations et cela accentue leur charisme et forcément, on s’attache à eux bien plus facilement.
Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs, une revisite bien pensée et qui apporte un contenu riche
Globalement, la narration de l’épisode d’origine était déjà tout à fait plaisante. Et pourtant, les p’tits gars de chez TOYBOX ont bien bossé et nous proposent certains textes qui ont été complètement réécrits et qui donnent à l’écriture une toute autre dimension. On notera également l’apparition de cinématiques, notamment celle avec la voiture, et de différents éléments qui ont été rajoutés. C’est propre, bien peaufiné et pour ma seconde aventure, j’ai plus eu l’impression d’être face à un remaster plutôt qu’à un simple portage… (D’ailleurs, si vous voulez bien saisir la différence entre un Reboot, remaster, portage et remake, le dossier présent à cette adresse devrait vous combler).
Au programme de ce remaster donc, ce sont cinq scénarios qui apportent du contenu scénaristique pour des personnages qui ont été sous-exploités par le jeu d’origine. C’est en tout cas le sentiment que j’ai eu. Dans tous les cas et la seule chose que l’on peut dire, c’est : quel bonheur !
En effet, si pendant mon aventure, je n’ai eu droit qu’à trois nouveaux scénarios sur cinq, il faut clairement souligner la qualité narrative de ces derniers qui se rajoutent très facilement à la trame scénaristique. Effectivement, les scénarios implantés ne se déroulent pas après la fin mais pendant l’aventure, et ils permettent de découvrir le passé, l’histoire et d’en apprendre davantage sur les personnages. Pour ma part, j’ai pu découvrir la prêtresse Tei Hikime dans un premier scénario, le second mettait en avant Yuki Shiramine le beau gosse et enfin, ce sont les forces de l’ordre qui ont été à l’honneur avec Tomokiyo Otoe et Sawako Yashio. Je n’ai malheureusement pas pu découvrir les deux autres qui nécessiteront un second tour de jeu…
Une durée de vie critiquée
Effectivement, si l’on dit qu’un second tour de jeu est nécessaire pour recruter l’ensemble des personnages proposés, c’est parce que tout au long de l’aventure, qui est composée de dialogues avec les personnages animés façon GHOST, de phases de préparation avant bataille et ensuite, du combat tactique en lui-même, il faudra faire des choix. Pour cela, on aura droit au système classique avec plusieurs choix de réponse. Ces derniers seront présents pendant les scènes de l’histoire mais aussi à votre Q.G lorsque vous discuterez par vous-même avec vos héros mais ce n’est pas tout…
On vous en parlait dans l’ancien test, le système de données sensorielles est une sorte de choix représenté par vos différentes émotions et sens. Ainsi, lorsqu’un personnage s’adresse à nous, on pourra combiner les sens et les émotions pour répondre. Ces derniers sont respectivement le goût, l’odorat, l’ouïe, la vue, puis le toucher, l’amour, l’amitié, la rage, la tristesse et l’angoisse. Pour vous donner deux exemples concrets, vous voulez faire un geste un peu déplacé et pervers sur une jeune fille de votre groupe, répondez : Amour + toucher. Si au contraire, vous voulez montrer que vous vous intéressez à elle et qu’elle vous séduit, ce sera alors Amour + vue. Cela marche aussi pour l’amitié ou célébrer une victoire où il suffit de répondre Amitié + toucher pour effectuer un serrage de main.
Qu’on se le dise, le système est clairement déroutant et étonnant, d’autant plus que si l’on fait le calcul, il y a 26 possibilités de combinaison, ce qui entraîne généralement des réponses différentes du côté des protagonistes et surtout, c’est ce qui va changer vos relations et la fin du jeu. Car oui, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs est un jeu aux multiples fins et en plus de cela, il propose un new game + qui conserve les personnages recrutés afin de continuer à les faire évoluer… Mais nous reviendrons sur ces possibilités.
Sachez tout de même que pour terminer l’aventure une première fois, il faudra toujours une bonne vingtaine d’heures pour arriver au bout de l’aventure, critère que nous avions critiqué dans le premier test. Et franchement, il faut l’avouer, cela fait toujours assez peu pour un jeu de ce genre et surtout pour ceux qui ne viseront clairement pas le 100%, le recrutement d’autres personnages et l’exploration des incroyables possibilités du système de données sensorielles donnant accès aux multiples fins. Pour les autres et ceux concernés par les points cités, il suffit de multiplier les vingt heures par vos priorités… Sachez tout de même que si vous tombez raide dingue de l’univers et des personnages, on se laisse facilement retenter…
Concernant les nouveaux chapitres, la plupart proposent deux batailles différentes et sachez-le tout de suite, le fonctionnement du gameplay a été revu en bien, et la durée de vie se voit quelque peu rallongée car il faudra encore plus vous entraîner qu’auparavant ce qui est… un moins comme un plus… Disons que fort heureusement, le gameplay est assez riche.
Anticipation, déplacement, élimination
Qu’on se le dise, Tokyo Twilight Ghost Hunters premier du nom proposait un gameplay complexe, profond et avec un très gros potentiel. Malheureusement, il souffrait énormément de l’absence d’un véritable tutoriel, son système semblait archaïque et il manquait quelque chose. Désormais, on sait ce qu’il manquait et on vous explique comment les développeurs ont rectifié le tir mais avant cela, remettons les choses dans le contexte.
Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs propose une suite de missions faisant fortement penser à un épisode d’anime japonais. Vous avez en premier une introduction d’épisode, le générique, les dialogues avec des choix pour construire l’avancée de l’épisode, la phase de préparation de vos personnage au Q.G, la bataille (voire parfois deux batailles), encore des discussions avec choix et enfin, une petite conclusion faite par un des personnages avant de lancer le générique de fin.
Concernant les batailles, c’est là que le titre frappe fort. Effectivement, si les bases de l’anticipation des mouvements des fantômes ennemis étaient bien posées dans le premier opus, le remaster ajoute un système de combo avec vos points AP. Ces derniers servaient auparavant à se déplacer puis à effectuer une attaque ou un skill. De plus, l’interface n’était pas forcément pratique et il fallait toujours regarder les clés USB des tablettes Ouija pour voir le nombre d’AP restant. Désormais, ce nombre est affiché à l’écran au dessus de votre personnage.
Vous devez vous demander de quoi l’on parle avec cette histoire de tablette. En fait, la technologie Ouija est capable de générer une retransmission du combat qui a lieu. Ainsi, elle se présente en plein écran avec des clés USB branchés sur cette dernière pour représenter à la fois vos personnages mais aussi, la menace fantôme (n’y voyez pas un jeu de mot avec Star Wars !). Sur les clés seront notés le nom du personnage, ses points de vie, ses AP, les faiblesses et résistances aux altérations d’état et bien d’autres choses encore.
Ensuite, l’écran de la tablette propose un plan assez basique sous la forme de cases du lieu où vous combattez. Cela peut être une salle de classe, un appartement ou encore un jardin. Les lieux proposent tous des architectures différentes et avant de vous lancer dans la bataille, il est toujours possible de dépenser de l’argent et des points pour placer des pièges et détecteurs de fantôme.
Effectivement, si vos personnages et vous prendrez des niveaux, vous pourrez choisir comment répartir vos points de statistique. Si on trouve les banals bonus de défense, les points de vie ou autres AP pour lancer vos techniques, l’un des paramètres augmente la quantité de pièges que vous pouvez poser avant bataille. On trouve ainsi des pièges plus ou moins onéreux selon le nombre de cases de la carte qu’ils couvrent et ils peuvent permettre d’infliger des altérations d’état comme l’empoisonnement ou encore, la paralysie. Il y a aussi les pièges infligeant directement des dommages aux entités qui passent dessus ou encore, les détecteurs qui permettent de supprimer le brouillard de guerre dans une zone plus ou moins grande… Encore une fois, la portée de votre appareil dépendra de son prix.
Avec Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs, les allergiques de la première heure à son gameplay pourraient changer d’avis
De plus, les fantômes étant électromagnétiques, il y aura des cases prises électriques, des robinets et bien d’autres encore qu’ils se serviront pour se téléporter et vous échapper. A vous de voir si vous voulez condamner les prises électriques et les robinets en question en plaçant des pièges afin que les monstres ne puissent pas les atteindre. Pour tout vous dire, le premier jeu proposait de vous laisser placer les pièges de A à Z et étant donné la complexité du gameplay, cela pouvait s’avérer compliqué de comprendre les subtilités. Ce remaster, lui, vous propose une configuration de pièges pré directement établie. A vous de voir si vous voulez l’utiliser, rajouter des pièges ou alors, supprimer cette dernière en appuyant sur carré et L1 pour tout supprimer et configurer votre propre stratégie. Une bonne chose donc qui ravira autant les flemmards (comme moi ?!) que les fins stratèges.
Ainsi, lorsque vous lancerez les batailles, il faudra vous déplacer jusqu’à trouver un fantôme. Si vous avez placer des détecteurs, vous aurez peut-être la chance d’en localiser un dès le début. Il faut savoir que lorsque vous validez le déplacement de tout vos personnages, les ennemis se déplaceront en même temps que vous. Effectivement, tout est toujours en temps réel et il faut, comme on le disait, anticiper les mouvements que feront les fantômes et tâcher de les avoir dans votre champ de vision lors de la phase d’exécution des déplacements et des attaques.
Comme on le disait auparavant, vous n’aviez droit qu’à une attaque par personnage et le nombre de tour de jeu, représenté en minute, était très conséquent. Dans Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs, ce dernier est divisé par deux, voire moins, ce qui fait que les batailles durent moins longtemps et que l’on gagne en dynamisme. Effectivement, dans la première version du jeu, il n’était pas rare de frapper dans le vide et de casser des objets présents dans la pièce qui nous étaient facturés à la fin de la mission. Ici, le fait de pouvoir attaquer plusieurs fois selon votre manière de gérer vos AP permet clairement de rendre le soft plus accessible et surtout, de prévoir différentes trajectoires pour vos ennemis. A noter également que vous pouvez combiner techniques et utilisation d’objets. Parmi les items, on trouve des pièges, des objets de guérison de points de vie ou d’altération d’état, ou encore des objets permettant de booster vos statistiques. A noter que les différents objets peuvent avoir des effets sur une seule case ou alors carrément sur celles qui sont adjacentes, voire celles situées plus loin. Utile donc pour piéger les fantômes en attaquant toutes les cases où ils peuvent se déplacer (elles clignotent en bleu) ou encore, pour réunir vos troupes et les faire profiter d’un boost de statistique.
Bref, il y a tout de même un mais à tout cela. Effectivement, entre les nouveaux scénarios, le changement d’équilibrage des batailles, le rajout des attaques combos et la baisse du nombre de minutes par stage, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs offre un challenge ardu. En effet, j’ai dû m’y reprendre au moins une vingtaine de fois sur certains combats car le niveau de l’entité à vaincre était parfois de plus de trente niveaux du dessus du mien. Bien évidemment, il est possible de les vaincre en jouant stratégiquement, à coup de pièges bien placés et de beaucoup de réflexion. Néanmoins, il faudra toujours faire quelques missions annexes afin de gagner des niveaux et d’augmenter ses caractéristiques pour mieux résister aux attaques des big boss. Le farming est donc plus ou moins nécessaire pour avancer… Après, cela dépend de l’expérience que vous recherchez : du challenge pour gagner ou de l’entraînement pour pouvoir remporter la victoire plus facilement. Pour vous faciliter la tâche, vous pourrez toujours bien vous équiper…
Moichi Mansion
Moichi Sengen est l’Otaku du groupe et c’est aussi lui qui s’occupera de crafter de l’équipement afin d’en obtenir pour votre groupe de chasseurs de fantômes. Des pièges, des objets de soin, des pisteurs, ou encore des armes et vêtements. Ce dernier aura de tout en stock et si vous utilisez des TP (Team Points) pour vous entraînez avec lui, plus il prendra de niveau dans ses compétences, plus il proposera du matériel qualitatif.
Nous n’en n’avions pas parlé mais à la fin des missions, en plus des points d’expérience, vous gagnerez des TP qui vous permettront, après bataille, d’augmenter le niveau de compétences des personnages. En effet, si pour Moichi, vous obtiendrez de nouveaux produits à crafter dans ses stocks, les autres personnages vous débloqueront aussi d’autres éléments. Mais ce n’est pas tout, vous entraîner avec eux permettra de vous donner accès à leurs skills en échange de TP ce qui vous permet très clairement de vous faire un petit build personnalisé au niveau de votre héros.
Pour remporter des TP, le jeu de société Hyper Natural est de retour, et si nous lui avions reproché d’être également basé sur la chance, il l’est plus ou moins toujours. En effet, il permet à cinq joueurs de s’affronter, quatre d’entre eux chasseront les fantômes tandis que le cinquième les contrôlera. Il s’agit ni plus ni moins d’un jeu de plateau avec des cartes où vous devrez vous déplacer pour débusquer les fantômes. Le concept reste assez hasardeux bien que cela permet de se changer les idées lorsque l’on veut faire autre chose.
Outre le crafting, vous trouverez aussi un revendeur au charisme indéniable qui vous vendra tout un tas d’objets en échange de yen. Tous les dix milles yen dépensés dans sa boutique, l’homme vous offrira l’occasion de participer à une loterie où vous pourrez tenter de remporter de belles récompenses ! A noter que vous pourrez aussi obtenir des tickets de participation à la loterie en réussissant des missions d’exorcisme.
Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs, sa profondeur narrative donne envie de découvrir toutes les fins possibles
Autrement et après avoir comparé les versions PlayStation 3 du jeu d’origine et le tout nouveau sur PlayStation 4, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs s’avère nettement plus joli graphiquement et ce, sans parler des ajouts de cinématiques et tout ce qui s’en suit. C’est un véritable plaisir de jouer avec des personnages vivants grâce à la technologie Ghost et qui semblent être peints. Les backgrounds parlent également d’eux-mêmes et il est très facile de se laisser séduire par cette oeuvre artistique.
Nous n’en avions pas encore parlé mais pendant les batailles, lorsque vos personnages attaquent, une vue en FPS est lancée et vous pouvez visionner les attaques de chacun, et surtout, regarder le chara-design des fantômes fortement inspiré et dont nous sommes tombés sous le charme. Entre les cris, les visages inquiets lorsqu’ils attaquent et les coups de vos héros selon les armes équipées, c’est un régal. L’ambiance est super bien retranscrite et nous propulse complètement dans l’univers de cette chasse aux fantômes.
Enfin, la bande-son reste la même et elle est tout bonnement géniale. On avait beaucoup été charmés dans le jeu d’origine et là, la recette fonctionne de nouveau avec ses morceaux assez Rock, l’opening et le ending tout bonnement fantastiques avec des morceaux spécialement créés pour s’adapter à chaque situation… Entre narration et ambiance, on est franchement sur du tout bon et j’ai été ravi de redécouvrir l’OST. D’ailleurs, cette ambiance nous fait découvrir un Tokyo contemporain et propose, dans ses scénarios, beaucoup de références, comme on le disait, aux histoires fantomatiques japonaises. De plus, on sent les références à S.O.S fantômes avec, par exemple, l’ambulance qui est remplacée par un Van de toute beauté dont vous me direz des nouvelles ! Un gyrophare orange qui clignote pour signaler l’urgence et le Van qui s’élance à toute vitesse pour amener notre équipe d’exorciste sur le lieu de la mission.
Autre détail, le remaster Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs vous donne l’occasion de découvrir de nombreux pièges inédits mais aussi, des charmes ! Le dernier point cité sont des porte-clés à équiper aux clés USB représentants vos personnages. Cela accorde à l’équipe différents bonus comme une résistance aux altérations d’état, un bonus de points de vie ou encore, un autre qui permet carrément de changer la voix de Shiga, l’homme qui vous assiste pendant les combats !
Dernier point qui lui ne change pas et qui fermera des portes à bien des joueurs… Et oui, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs est encore une fois disponible uniquement avec des sous-titres en anglais. Cependant, il se dote de voix japonaises. On regrettera peut-être encore le fait que tous les dialogues ne sont pas entièrement doublés.
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